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  • Du changement dans les groupes fédéraux

    groupes 1 et 2 au 11/04/2019

  • Monique Marini : nous espérons avoir cette année Charlotte Dujardin et Carl Hester

    J- 35 avant les Internationaux de Dressage de Compiègne ! Entre bilan des éditions précédentes, cavaliers attendus et nouveauté, Dressprod fait le point avec Monique Marini, la présidente et organisatrice du concours ; une cavalière et chef d'orchestre passionnée. Monique Marini, accompagnée de Raphaël Saleh, le Président du jury - Le concours de Compiègne fête cette année son 9 ème anniversaire. Quel regard portez-vous sur les éditions précédentes ? Nous avons débuté avec le circuit du Grand National. Ensuite, nous avons évolué vers un premier CDI jeunes en 2010. En 2011 nous avons organisé un CDI3*; en 2015 un CDI4* et depuis 2016 un CDIO5*. Nous sommes vraiment heureux d'avoir réussi à développer un tel événement sur lequel nous avons déjà accueilli les meilleurs cavaliers de la planète comme Hans Peter Minderhoud, Patrik Kittel, Cathrine Dufour, Diederik van Silfhout , Helen Langehanenberg, Adelinde Cornelissen, Patrick van der Meer, Juliette Ramel ou encore Carl Hester, Laura Graves, Shelley Francis, Karen Perry-Glass. -A quoi attribuez-vous votre réussite et la sollicitation des meilleurs cavaliers internationaux pour ce concours ? Tous les terrains du stade équestre de Compiègne ont été refaits et fibrés. Nous savons que les cavaliers apprécient les sols de qualité pour leurs chevaux. Nous avons également des boxes en dur qui permettent d'accueillir les chevaux dans les meilleures conditions. Nous avons enfin toujours souhaité instaurer un esprit familial, amical, et je pense que les cavaliers le ressentent également. Nous sommes professionnels dans notre organisation, mais ça ne nous empêche pas d'être conviviaux. Le CDIO de Compiègne est aussi le travail d'une équipe soudée avec un excellent directeur technique en la personne de Dominique Carton. Nous ne sommes pas nombreux à travailler sur l'organisation, mais nous avons de nombreux bénévoles le jour J, tous très engagés. La ville de Compiègne a aussi fait beaucoup pour l’évolution de son stade équestre, avec la construction de nouveaux boxes en 2016 (un investissement conséquent qui nous permet de compter sur 102 boxes supplémentaires en dur) et la réfection en 2017 de tous les terrains. -Quelles sont les nouveautés de cette édition 2019 ? Cette année, nous accueillons à nouveau des épreuves 7 ans. Nous les avions déjà organisées il y a deux ans et espérons qu'elles permettront aux cavaliers de participer au concours avec leurs chevaux en préparation pour le Petit Tour. Peut-être découvrirons-nous à Compiègne quelques-unes des stars de demain ! -En 2016, Compiègne accueillait son premier concours Coupe des Nations. Pourquoi avoir souhaité organisé une étape du circuit de la FEI ? Nous avions inscrit au calendrier de la FFE un CDI5* et avions demandé à la Fédération Française d'Equitation de nous accorder le "O” de Officiel, ce qu’elle a fait. La FEI nous a ensuite demandé si nous souhaitions faire partie du circuit Coupe de Nations, ce que nous avons accepté avec grand plaisir. -Quel message adresseriez-vous à un spectateur qui hésiterait encore à venir vous rendre visite du 16 au 19 mai ? Cette année, même si tout dépend toujours de la santé des chevaux, nous espérons avoir Charlotte Dujardin et Carl Hester. Helen Langehanenberg a quant à elle déjà confirmé sa présence. J'espère que Patrik Kittel sera également là, car c'est un cavalier que j'apprécie beaucoup, toujours très aimable et avec un excellent état d'esprit. -Quels sont vos projets pour le CDI de Compiègne ? Nous avons toutes les infrastructures pour continuer de nous développer y compris pour accueillir des échéances. Il faut cependant boucler les budgets, l'argent est le véritable nerf de la guerre. Nous avons de fidèles partenaires financiers qui nous suivent, comme le Crédit Mutuel Nord Europe, notre soutien financier principal, mais aussi des sociétés comme Acary, Barriquand, Brezillion, Cagna, Eiffage, Engie, Indigo, Eurovia, Paprec, le groupe Suez, Loiseleur Paysage ou encore le joaillier Mauboussin, et des hôteliers comme Campanile, Kyriad, Mercure et T'Aim Hotel. Le travail sur l’organisation de la compétition commence dès le mois de septembre 2018. Plus qu'un projet, notre souhait est que les fédérations des nations invitées sur le CDIO5* nous mettent le plus possible d’équipes premières. Crédit photo : agence Ecary

  • Championnats d'Europe de Rotterdam : ouverture de la billetterie

    La billetterie des Championnats d'Europe 2019, organisés du 19 au 25 août à Rotterdam aux Pays-Bas, est désormais ouverte. Pour espérer assister à la compétition de dressage, il faudra débourser entre 17.50€ et 55€ selon l'épreuve et la catégorie des places choisies. Infos et achat des places sur rotterdam2019.com

  • Guillaume Recoing : les jeunes chevaux sont ma spécialité et j'aime vraiment ça

    Triple champion de France et 7 fois vice-champion en jeunes chevaux, vice-champion de France Pro 3 : avec 3 participations aux Championnats du Monde, discrètement, Guillaume Recoing fait son bout de chemin. 15 ème l'été dernier à Ermelo avec sa Star de l'Océan, le cavalier installé à son compte au Haras de Hus pourrait bien, cette année encore, défendre le drapeau tricolore. -Quelles ont été les orientations de votre travail d'hier ? L'objectif de cette année, ce sont les cycles classiques 6 ans. Notre hiver a été un peu perturbé. Nous avons participé aux stages Jeunes Talents de la SHF avec Marina Caplain Saint André qui nous ont permis d'attaquer le sujet des changements de pieds. Il reste des choses à mettre en place, mais dans l'ensemble, ça avance bien. Pleins de petites choses sont venues se greffer sur notre préparation et nous ont retardés : je me suis cassé la main donc j'ai un peu moins monté. Star était aussi un peu fatiguée donc je l'ai laissée tranquille pendant quelques temps. Jusqu'en décembre nous avons bien travaillé et à partir de janvier nous avons fait un peu plus cool. Nous sommes maintenant à nouveau dans le vif du sujet des changements de pied. Nous avons bien avancé même s'ils doivent maintenant être confirmés avant de se présenter en concours. Je suis confiant, nous allons dans la bonne direction. D'une manière générale nous avons travaillé le rassembler au galop, elle commence d'ailleurs à bien le maîtriser. Elle connaissait déjà un peu l'enchaînement épaule en dedans/appuyer et au pas les demi-pirouettes ne lui posent pas non plus de problème. -En octobre vous participiez au clinic avec Isabell Werth organisé par le programme Jeunes Talents. Avec le recul, cette expérience a-t-elle fait évoluer votre équitation ? Le clinic nous a apporté une excellente médiatisation, ce qui est important pour notre discipline. Les conseils qu'elle m'a donné étaient très classiques, très orientés sur le travail de base. J'essaie désormais de faire plus attention à ma position, et à avoir des mains plus basses. Isabell a également beaucoup insisté sur le fonctionnement global de la jument, chose, bien sûr également très importante à mes yeux et déterminante dans mon travail quotidien. -Comment avez-vous organisé votre entraînement cet hiver ? J'ai participé à 3 stages Jeunes Talents avec Marina que je connais depuis longtemps et qui a été très importante dans ma carrière. Sa compétence technique est reconnue et indéniable mais au-delà de ça, nous nous connaissons tellement bien que l'avoir à nos côtés est rassurant et très positif pour nous. Je travaille également avec Jessica (Michel-Botton), au cas par cas, quand je sens que j'ai besoin d'aide. Le fait que nous soyons tous les jours dans le même manège permet de nous caler une heure de temps en temps pour qu'elle m'aide sur un point technique. C'est très précieux pour moi. Plus épisodiquement je travaille également avec Hans Heinrich Meyer Zu Strohen et Ariane Pourtavaf qui m'ont beaucoup entraîné quand je montais pour le Hus, ils me connaissent par cœur et je leur fais 100% confiance. -Quel programme de saison envisagez-vous ? Mon écurie démarrera dans 15 jours, au CIR du Lion d'Angers. Je vais emmener une 4 ans (Kolomba d'Echallens) et des élèves. Pour Star, je pense que je vais essayer de faire un concours avant le CIR de Jardy, support de la sélection pour Ermelo, sinon nous irons directement. Et si elle n'est pas prête, nous resterons à la maison. Il est encore trop tôt pour le savoir. J'ai une jument incroyable et très motivante pour l'avenir, je ne veux pas aller plus vite qu'elle, au risque d'aller justement "trop" vite, ce n'est pas ma philosophie. -Quels sont les autres chevaux qui composent votre écurie ? J'ai 6 chevaux au travail, dont 2 qui nous appartiennent : Star, et un 4 ans, Kensington, qui sortira un peu plus tard dans la saison car il a encore besoin de grandir. J'ai aussi la chance de pouvoir compter sur des propriétaires qui me font confiance depuis longtemps. Tout d'abord l'Elevage d'Echallens au travers de sa propriétaire Laurence Favre d'Echallens qui me confie 2 chevaux: Kolomba d'Echallens, qui était vice-championne des 3 ans l'année dernière à Saumur et First Time d'Echallens. Grâce à Laurence j'ai un roulement de chevaux régulier puisqu'elle fait naître 1 à 2 foals par an issus de choix de croisement bien pensés et qualiteux. Cela me permet de pouvoir toujours compter sur de nouveaux chevaux prometteurs. J'ai également une jument plus âgée, Fiderlys. Elle appartient à Véronique Ligoureau, la gérante de la société VLC Europe qui propose, via son site internet, des équipements haut de gamme pour les chevaux et les équipements équestres. Elle est un partenaire très important de notre écurie car elle nous permet de pouvoir utiliser des produits de haute qualité, notamment la gamme de complètements alimentaires Plusvital, afin de maintenir nos chevaux en bonne forme. Enfin j'ai un autre cheval de 4 ans, Shaman Kur, qui appartient à la famille Paillard, du Haras de la Gérillais. C'est un grand cheval, un fils de Sezuan, il débutera la saison un peu plus tard lui aussi car je l'ai au travail depuis peu et je veux prendre le temps de bien le construire. Il est très important pour ma femme, Jessica, et moi d'avoir une relation de confiance avec nos propriétaires, ce qui se construit sur le long terme. L'objectif de cette année est de pouvoir tous les emmener à la finale de Saumur, événement phare de la saison pour nous. L'élevage d'Echallens, VLC Europe et la société Selle Expert, qui m'équipe pour la sellerie, sont mes partenaires les plus proches. Nous en avons également d'autres qui participent à notre projet et qui nous font confiance pour la valorisation de leur image de marque, comme la société SAMO ou les fabricants de bottes BSBoots. -Vous êtes spécialiste des jeunes chevaux. Ambitionnez-vous également le Petit Tour et le Grand Tour ? Avec First j'ai gagné quelques Pro 3 en 2018 et je pourrais aborder le Petit Tour cette année. Cependant il est à vendre. J'ai également déjà eu des résultats en St Georges/Inter 1 sur des concours Grands Nationaux et sur l'International de Biarritz. Les jeunes chevaux sont ma spécialité et j'aime vraiment ça. Le niveau que j'ai acquis me permet de faire du haut niveau en jeunes chevaux et de pouvoir monter dans de beaux concours avec comme ligne de mire les Championnats du Monde et la finale de Saumur. C'est déjà super, et très motivant! Le Grand Tour et le Petit Tour, c'est une question d'opportunité. Avec Star ou avec un autre cheval, si nous arrivons à gravir les échelons alors nous verrons s'il y a de la place pour nous à ce niveau-là. Avec les chevaux on ne sait jamais ce qu'il peut arriver, c'est ce qui fait le sel de ce métier! Maintenant, nous sommes tous conscients qu'avec un jeune cheval performant, les offres pour le commerce arrivent et c'est toujours difficile de résister car nous sommes professionnels et nous devons en vivre. -Vous avez travaillé pour Christoph Niemann, Paul Schockemohle, l'élevage de Witt, Marina Caplain Saint André et le Haras de Hus. Quel regard portez-vous sur l'évolution de la discipline ? La qualité des chevaux a considérablement augmenté. Le niveau des cavaliers s'est également grandement amélioré, les chevaux sont aujourd'hui mieux dressés et mieux présentés. Indiscutablement le niveau a monté, même si on ne peut pas encore nous comparer aux championnats allemands, hollandais ou danois, il faut voir d'où l'on vient, continuer de progresser et ne pas perdre le train du niveau international qui lui aussi ne cesse d'avancer. -Comment votre écurie est-elle organisée ? Nous sommes 2 à travailler : ma femme Jessica et moi. Je travaille les chevaux, et elle s'occupe de l'organisation des écuries, bichonne les chevaux et s'occupe également de la comptabilité de l'entreprise. Je monte uniquement le matin car les après-midi sont consacrés à donner des cours, en semaine dans un périmètre autour de Nantes, et le week-end lors de stages organisés par des écuries privées ou centres-equestres. Nous avons 2 enfants, donc les journées sont organisées et bien remplies. Nous sommes installés au Haras de Hus, nous louons des boxes dans l'écurie de Gilles Botton, le cavalier de CSO du Haras. Etre dans un un tel cadre est très motivant pour moi. Plusieurs fois nous nous sommes posés la question d'investir dans notre propre structure mais c'est quelque chose qui pour le moment ne nous tente pas. J'ai besoin d'avoir d'autres cavaliers qui montent avec moi et c'est une des opportunités que m'apporte le Haras de Hus. photo : collection privée/DR #GuillaumeRecoing #StardelOcéan

  • Weihegold a bien changé ...

    Double championne d'Europe, triple vainqueur de la Finale Coupe du Monde, vice-championne olympique en individuel et championne olympique par équipe avec Isabell Werth, Weihegold débutait sa carrière en jeunes chevaux avec Kira Wolferding. De 2010 à 2019, Weihegold a bien changé :

  • Jessica Michel : je fais mon possible pour trouver des partenaires […] pour garder Dorian Grey pour

    5 èmes des Championnats du Monde des 5 ans à Ermelo en 2018, Champions de France des 4 et 5 ans, Jessica Michel Botton et Dorian Grey de Hus font cette année encore partie des favoris du circuit mondial jeunes chevaux. Son travail d'hiver, ses objectifs, sa saison, mais aussi l'avenir de Dorian Grey de Hus : entretien avec la cavalière de Petit Mars. - Sur quoi avez-vous orienté votre travail hivernal ? Après la Grande Semaine, je donne toujours des vacances assez longues aux jeunes chevaux, en général entre 2 et 4 semaines. C’est le bon moment pour leur offrir une pause. Ensuite, je reprends progressivement le travail par du stretching, pour reprendre le travail déjà effectué. Puis, s’il y a de nouveaux caps à passer, nous nous y consacrons. En général, au mois de janvier, je reviens encore sur le travail de base (stretching, transitions, etc), avant de commencer à remettre les chevaux dans les exercices de la saison, tout en développant la base de travail du cheval. Pour Dorian, j’avais déjà effleuré le travail des changements de pied à 4 ans. Je le fais souvent avec les chevaux de 3 ou 4 ans qui vont bien, simplement en me mettant en équilibre et en prenant une diagonale (version jumping) ! C’est assez naturel pour eux. Quand j’ai demandé la même chose cet hiver, Dorian n’avait rien oublié ! Ensuite j’ai fait de même en restant assise. Il connaissait aussi déjà un peu les appuyers et épaules en dedans, ainsi que les demi pirouettes au pas… Il a pris beaucoup de force cet hiver et c’est encore plus facile pour lui ! - Quels sont vos objectifs 2019 ? Je souhaite avant tout me faire plaisir, comme en 2018, sans pression excessive, comme ce fut le cas il y a quelques années. Avec Dorian, j'aimerais également faire aussi bien qu’en 2018 à Ermelo et Saumur ! Ce sont des souvenirs inoubliables. - Quel programme de saison envisagez-vous ? Comme je n’ai quasi que des jeunes chevaux ou des chevaux arrivés sous ma selle récemment, il est difficile de faire un plan précis sur une saison. Dorian a besoin "de voir du pays" car, en début de saison, il est souvent très chaud. C’est un peu le point que j’ai à gérer avec lui. Il maîtrise tous les exercices demandés, mais il est sensible et chaud. Il veut toujours bien faire mais peut réagir très vite. Plus la saison avance, plus il est facile. J’ai déjà fait un concours Cycle Classique début mars au Mans où il a obtenu plus de 90%. J’étais déjà très satisfaite pour un premier concours de l'année, il était chaud mais moins que l’année passée à la même époque. - Qu’a-t-il de plus et/ou de moins que son père Don Juan de Hus ? Dorian a le même mental ! Tous les jours, il me rappelle son père ! Il veut bien faire, faire plaisir et du mieux qu’il peut ! Il a plus d’énergie et de souplesse que son père, c’est un cheval plus sport. Don Juan mesurait environ 1m80 avec beaucoup d’os ! C’était tout de même un morceau. Il avait des allures démesurées et ce n’était pas forcément un avantage ! Heureusement, c'était un gagnant. Il avait le mental d’un cheval voulant faire plaisir à son cavalier. Pour Dorian tout est toujours facile avec son corps ! Il a des allures moins démesurées que Don Juan, même si je ne suis pas sûre que ce soit toujours un avantage. - Dorian est hongre. Est-ce lié au fait qu’il soit issu d'une mère clone de Poetin ? Non, pas du tout ! Le Haras de Hus a toujours voulu proposer des étalons hors normes à la reproduction ! Dorian était magnifique au modèle comme il l'est toujours aujourd'hui. A 3 ans il avait cependant 3 allures assez normales. Nous l’avons donc castré sans nous poser de question, car on ne collectionne pas les étalons qui ne font pas la reproduction. Dorian a évolué incroyablement entre la fin de son année de 3 ans et le début d’année de 4 ans quand j’ai commencé à le monter…Nous n'imaginions pas à ce moment-là qu’il deviendrait ce qu’il est aujourd’hui. - Dorian a-t-il des propres frères ou sœurs ? Dorian a en effet un propre frère né en 2019 ! Il a aussi une propre sœur, Darling, un an plus vieille mais qui est à la reproduction. Elle a juste été débourrée et mise sous la selle pour l’évaluer. Elle est elle aussi pleine de qualités. Il a également un propre frère, Dali de Hus, vendu à Andreas Helgstrand et issu d’une autre clone de Poetin. - En 2020, pensez-vous privilégier les 7 ans ou le Petit Tour ? A ce jour, je dirais plutôt les 7 ans. - Ou en est-il dans le travail du rassembler ? Dorian est maintenant capable de réaliser de grandes pirouettes au galop. Nous avons aussi entamé en début d'année le travail vers le piaffer (quelques battues dans les transitions notamment ou en main avec mon entraîneur HHMZS), il semble avoir compris et apprécier. Il est aussi capable de réaliser plusieurs changements de pied sur la diagonale. - A plus long terme quel est l'avenir envisagé pour Dorian Grey de Hus ? Suite au championnat du Monde, Monsieur Marie a refusé des offres très importantes l’an dernier. C’était son propre choix car normalement tous les chevaux sont potentiellement à vendre depuis le décès de Don Juan. Il nous est désormais difficile de nous projeter dans l’avenir et essayons de profiter de l’instant présent, ce qui nous parait déjà être une grande satisfaction. De mon côté je fais mon possible pour trouver des partenaires qui pourraient nous aider à le garder pour les Jeux Olympiques à Paris, sous ma selle bien évidement ! Avis aux amateurs… Un cheval né en France, formé en France, monté par une française, de deux parents appartenant au Haras de Hus, aux JO à Paris, ça serait quand même un rêve ! - Comment va Riwera ? Riwera est toujours dans mes écuries. C’est la reine des écuries qui annonce quand la brouette à grains est prête à démarrer ! L’été dernier elle allait au pré 24h/24. Depuis cet hiver elle va au paddock le matin et l’après-midi. Elle aime quand même qu’on s’occupe d’elle ! photo : collection privée/DR #JessicaMichel #DorianGreydeHus

  • Grand National de Jardy : le lusitanien prend la main

    Il aura régné tout le week-end sur les épreuves du Grand Tour : de la Pro 1 Préliminaire en passant par la Pro 1 Grand Prix, le Grand Prix Spécial et la reprise libre, à Jardy, le cheval lusitanien a bel et bien pris la main. Non content d'occuper 3 des 4 premières places du Grand Prix avec : la victoire d'Anne Sophie Serre et Vistoso de Massa (71.870 %) la seconde place d'Arnaud Serre et Ultrablue de Massa (71.500 %) la 4 ème place de Carlos Pinto et Sultao Menezes*de la Gesse (71.174 %), si tant est qu'il en ait encore besoin, et avec 3 représentants à plus de 71 %, le lusitanien affirme une nouvelle fois ses prédispositions pour le Grand Prix. Ses facilités dans les airs relevés, piaffer et passage notamment, lui permettaient d'aligner 9 % des partants de ce Grand Prix particulièrement disputé. Le studbook prend aussi : la tête de la reprise Pro 1 Grand Prix avec une autre victoire d'Anne Sophie Serre, cette fois associée à Actuelle de Massa (70,76%), et une 4 ème place, décrochée par Barbara Clément Klinger et son Boléro du Coussoul encore vert sur ce niveau de compétition (68,5 %). la tête du Grand Prix Spécial avec une nouvelle victoire pour Anne Sophie Serre et Vistoso de Massa (70, 915 %) et une seconde 2 ème place pour Arnaud Serre et Ultrablue de Massa (70.383 %) la victoire de Carlos Pinto et Sultao Menezes*de la Gesse dans la reprise libre (75,375 %) Qu'ils soient dotés des affixes, Massa, de la Gesse, du Coussoul ou Menezes, qu'ils soient nés chez Sylvain Massa, Catherine Vaisse ou Dany Lahaye, qu'ils soient pure race ou croisés, qu'ils soient montés par des cavaliers français ou portugais, avec 76 % de classement dans le Grand Tour, le Grand National de Jardy a confirmé un savoir faire français pour le cheval portugais, né du travail de quelques passionnés. Actuelle de Massa

  • Finale Coupe du Monde : les vidéos d'Isabell Werth, Laura Graves, Helen Langehanenberg, Daniel B

    Isabell Werth et Weihegold OLD, vainqueurs à 88,871 % Laura Graves et Verdades, 2 èmes à 87,179 % Helen Langehanenberg et Damsey, 3 èmes à 86.571% Daniel Bachmann Andersen et Blue Hors Zack, 4 èmes à 85.468 % Patrik Kittel et Delaunay, 6 èmes à 82.464 % Hans Peter Minderhoud et Glock's Dreamboy, 10 èmes à 80.286 % #IsabellWerth #Weihegold #DanielBachmann #BlueHorsZack #HansPeterMinderhoud #GlocksDreamBoy #PatrikKittel #Delaunay #LauraGraves #verdades #HelenLangehanenberg

  • Finale Coupe du Monde : 5 ème titre pour Isabell Werth

    Elle décrochait sa première Finale Coupe du Monde en 1992, déjà à Göteborg, déjà avec une jument : Fabienne. 27 ans plus tard Isabell Werth s'impose aujourd'hui encore, au terme d'une compétition sur laquelle elle aura régné sans le moindre partage. Vainqueur du Grand Prix hier (voir ICI), la cavalière allemande, auteur des meilleures performances en reprises libres cette saison, spécialiste de l'exercice, s'impose également dans la reprise libre avec une moyenne de 88.871 %. Omaha en 2017, Paris en 2018, Göteborg en 2019, elle réalise donc un triplé attendu, même si une génération de trentenaires n'est pas loin derrière. Challengers de l'allemande pour la 3 ème fois consécutive, Laura Graves et Verdades n'auront toujours pas réussi à prendre l'ascendant sur leur aînée, malgré un programme libre qui met particulièrement en valeur les qualités du fils de Florett As. Ils quittent aujourd'hui la piste suédoise avec une moyenne de 87.179 % et un état de forme qui laisse espérer de les retrouver en 2020 à Tokyo. A la 3 ème place on retrouve une autre allemande bien connue, Helen Langehanenberg et son Damsey qui réalisent la meilleure libre de leur saison. Ils quittent la piste avec une note de 86,571% Ils ne participaient cette saison qu'à deux qu'à deux étapes, mais de la plus belles des façons, s'imposant à Herning (83,375 %) et S'Hertogenbosch (84,89 %) : 4 ème de cette reprise libre à 85.468 % , Daniel Bachmann Andersen et Blue Hors Zack pourraient bien réitérer cet été, aux Championnats d'Europe de Rotterdam. Elle nous confiait en début de semaine espérer améliorer sa 10 ème place conquise sur la Finale de Paris (voir ICI), Morgan Barbançon Mestre conclue sa compétition avec une 14 ème place et une moyenne de 74.511 %. Le couple tricolore, habitué à friser les 80 % en artistique, affrontait à Göteborg une concurrence redoutable. Morgan Barbançon Mestre quitte la Suède avec désormais Rotterdam en ligne de mire. Résultats de la reprise libre ICI Credit photo : FEI/Liz Gregg #IsabellWerth #LauraGraves #DanielBachmann #Weihegold #BlueHorsZack #verdades

  • Grand National de Jardy : le hold up de la famille Serre

    Ils n'ont beau pas former d'écurie pour le Grand National, Anne Sophie Serre et Vistoso de Massa n'en auront pas moins remporté le Grand Prix de Jardy. Au terme d'une épreuve où 43 concurrents s'affrontaient, c'est finalement Anne Sophie Serre et son Vistoso de Massa qui s'imposent, malgré une ligne de changements de pied au temps fautive. Avec une reprise à 71,87%, ils dominent un autre couple qu'ils connaissent bien … Arnaud Serre et son vice champion de France 2018 : Ultrablue de Massa à 71,5 %. A la 3 ème place, on retrouve Jean Philippe Siat et Lovesong à 71,413 %. Le couple, entraîné par Marina Caplain Saint André, encore jeune à ce niveau, confirme concours après concours son potentiel pour le haut niveau et continue de présenter un travail fluide et sans accroc. 5 èmes à 70,50 %, Charlotte Chalvignac et Lights of Londonderry n'auront eu besoin que de quelques semaines pour trouver leurs marques. Anne Sophie Serre, Arnaud Serre, Jean Philippe Siat et Charlotte Chalvignac obtiennent tous un des trois 70 % demandés par le Fédération Française d’Équitation pour accéder à son Groupe 1. Vendredi, Anne Sophie Serre remportait également l'écurie Pro 1 Grand Prix avec Actuelle de Massa et une note de 70,763 %. Résultats complets du Grand Prix ICI crédit photo : Alain Laurioux #AnneSophieSerre #arnaudserre #VistosodeMassa #UltrabluedeMassa

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