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- Glock's Dream Boy : cheval du mois
Vainqueur du Grand Prix Coupe du Monde Londres, vainqueur du Grand Prix et de la libre à Mechelen, après moins d'un an, Glock's Dream Boy semble aujourd'hui s'imposer comme la nouvelle locomotive du dressage néerlandais ; des résultats salués par la Fédération Équestre Internationale qui distingue le fils de Vivaldi et le nomme "cheval du mois". Débuté par Gerdine Maree, Dream Boy s'emparait déjà à 5 ans de la 4 ème place du Championnat National et de la 14 ème du Championnat du Monde des Jeunes Chevaux. En 2014, à 6 ans, il remportait la médaille de bronze aux Championnats du Monde de jeunes chevaux de Verden. En janvier 2016, il rejoignait le piquet de Hans Peter Minderhoud et, six mois plus tard, il décrochait une médaille d’argent sur le Championnat Néerlandais Petit Tour. En 2017, l'homme d'affaires autrichien Gaston Glock rachetait l'étalon à Tim Coomans, Jacques Maree et à l'écurie Brinkman. Hans Peter Minderhoud déclarait d'ailleurs à l'époque: "Dream Boy à toutes les qualités d'un cheval Grand Prix. Il a un talent exceptionnel". Premier fils de Vivaldi approuvé aux Pays-Bas, Glock's Dream Boy est le père de 9 étalons labellisés. #HansPeterMinderhoud #GlocksDreamBoy
- EXCLUSIF. Emmanuelle Schramm : nous devrons avoir 4 cavaliers à 71% pour aller à Rotterdam
Après avoir publié mi-janvier son projet 2019/2024, la Fédération Française d’Équitation révélait vendredi dernier la composition des groupes 1 et 2. De l'absence de certaines couples, aux nouveautés 2019, en passant par le rôle de Jan Bemelmans, les Championnats d'Europe de Rotterdam ou le mécénat, Emmanuelle Schramm, la Directrice Technique Nationale en charge du dressage, fait le point avec Dressprod. Vendredi dernier, les groupes 1 et 2 étaient publiés. Pouvez-vous nous expliquer l'absence de certains couples ? Les groupes sont constitués de façon factuelle, sur les performances. Si on les étudie, c'est très facile de savoir quels couples sont dans le groupe 1 ou le groupe 2. Ne pas avoir de performances depuis 6 mois impacte donc la présence ou non dans les groupes en question. Quelques cavaliers manquent donc à l'appel, mais ils rentreront vraisemblablement dans les groupes dès que la saison reprendra. C'est complètement informatisé, donc tout est très clair et chaque semaine, les groupes sont actualisés et susceptibles d'évoluer. L'appartenance à un groupe ou à l'autre peut donc être fluctuante, en fonction des résultats. Les CDI du Mans et de Nice feront probablement évoluer la constitution du groupe 1 comme du groupe 2. Jusqu'au 31 décembre dernier, Jan Bemelmans était identifié comme entraîneur, il apparaît aujourd'hui comme sélectionneur dans l'organigramme fédéral. Pouvez-vous nous expliquer l'évolution de son rôle ? Jan Bemelmans reste notre référant technique. Pour moi, les termes « entraîneur » et « sélectionneur » ne sont pas très éloignés dans sa mission, d'autant que l'année dernière il était aussi sélectionneur. Jan Bemelmans a voulu exprimer qu'il n'est pas l'entraîneur de chaque cavalier. Depuis qu'il est en charge du dressage tricolore, il souhaite que chaque cavalier ait un entraîneur auprès de lui le plus souvent possible : un travail qu'il ne peut faire avec tout le monde. Quand on voit les cavaliers quelque fois par an en stage, on ne peut pas véritablement dire qu'on les entraîne : il a donc action d'évaluation et de conseils. L'intitulé a certes évolué mais dans les faits, son rôle ne change pas vraiment. Jan sera présent sur principales compétitions de références d’ici au championnat d’Europe. Quel bilan tirez-vous du premier regroupement fédéral organisé au Mans la semaine dernière, et quels sont les objectifs visés par la sollicitation de nouveaux intervenants extérieurs ? Un des objectifs était de présenter ce nouveau projet. Nous avons estimé qu'il était nécessaire de se retrouver pour en parler même si les cavaliers avaient été conviés aux réunions de concertation. Depuis 6 ans, nous faisons toujours un stage en janvier pour mettre au point les objectifs de l'année. Je tire de ce premier stage un bilan très positif, nous avons pu échanger avec les cavaliers et je pense que la transparence qui avait été demandée est un objectif atteint, notamment avec l'établissement de la performance comme référence. Je pense que nous avons une bonne adhésion des cavaliers et beaucoup de motivation. Jan Bemelmans, Sophie Dubourg, le vétérinaire fédéral, les cavaliers et moi-même étions tous présents. Nous avons pris le temps de voir les chevaux et ensuite, nous avons souhaité faire un point d'évaluation avec un intervenant extérieur, ce qui avait été également demandé lors des réunions de concertation. Nous avons la chance d'avoir 4 juges 5* en France. Nous avons donc fait appel à Isabelle Judet qui a accepté très gentiment. Les cavaliers ont déroulé un Grand Prix, suivi d'un débriefing d'Isabelle et de Jan. Chaque cavalier est reparti avec une fiche « bilan technique/objectifs de performance » liée au projet sportif. Les minimas demandés pour espérer participer aux Championnats d'Europe de Rotterdam ont été relevés : au moins une fois 71 % en CDI 4*, 5* ou Coupe des Nations. Quels sont aujourd'hui les moyens mis en œuvre par la FFE pour tendre vers cet objectif ? Nous sommes dans un principe de cycles. L'action fédérale a longtemps été axée sur la formation, avec beaucoup de moyens investis, beaucoup de stages très ouverts sur la détection notamment, ce qui a permis de révéler de nombreux couples et d’en accompagner d’autres… Nous sommes maintenant dans une seconde phase, à mon sens logique, avec des objectifs que nous estimons réalistes pour exister au niveau international. Nous sommes un sport olympique, l'objectif d'une Fédération comme la nôtre, c'est donc d'être présent aux JO. Si on veut figurer honorablement, ça se prépare, et c'est ce que nous faisons. Nous devons donc donner une échelle réaliste par rapport au niveau qui est actuellement le nôtre. Si les minimas ne sont pas atteints pas 4 cavaliers, la France sera-t-elle tout de même représentée aux Championnats d'Europe par des individuels ? Nous devrons avoir 4 cavaliers à 71 %. 3 cavaliers permettent déjà de constituer une équipe. Nous avons conçu un objectif qui a vocation a être réaliste, ce n'est pas un rêve. A quoi servirait d'aller à Rotterdam si ce n'est pas pour espérer se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo ? L'expérience s’acquiert sur les concours internationaux, les Coupes des Nations, mais pas sur les grandes échéances car il est possible mais assez rare d'y réaliser une meilleure performance que d'habitude. En tous cas, l'ambition est de se qualifier pour les JO et aujourd'hui nous estimons cette qualification à plus de 70 %. Il faut que nous soyons à Tokyo aussi pour préparer Paris. Quel sera est le programme de compétitions balisées par la FFE d'ici Rotterdam ? C'est un sujet donc nous avons beaucoup parlé. Nous avons souhaité laisser plus de liberté aux cavaliers sur ce point car il y a déjà un cadre assez serré pour l'obtention des minimas. Nous avons en France des propositions de concours de bon niveau. On ne demande pas forcément aux cavaliers d'aller plus loin car ces compétitions valent largement les CDI 3* qu'on trouve ici ou là en Europe en ce moment. Aujourd'hui, nous avons les CDI du Mans et Nice, les Grands Nationaux du Mans et de Jardy, le CDI de Saumur, soit 5 opportunités d'obtenir le sésame pour le Groupe 1 d’ici au mois de mai. Si les cavaliers veulent aller à l'étranger ils le peuvent aussi. Enfin, pour les couples qui accéderont au Groupe 1, quelques concours ont aussi été identifiés, un peu les mêmes que les années passées, comme les CDI 4* de Hagen, Wiesbaden ou Fritzens et les Coupes des Nations mais celles-ci ne concernent que 4 cavaliers à chaque fois. Quelles sont vos attentes sur le CDI du Mans de cette semaine ? Mon attente est bien entendu qu'un maximum de cavaliers passent la barre des 70 % en mesurant tout de même que c’est un concours de rentrée. Il y a certain nombre de cavaliers engagés. Tout le monde a bien compris qu'il ne fallait pas perdre de temps pour obtenir les minimas demandés. Nous avons aussi beaucoup de jeunes qui sont attendus. Quelles sont les changements 2019 chez les poneys, children, juniors, jeunes cavaliers et U25 ? Le changement le plus important est que nous ne faisons plus appel à Ralph Rash comme c'était encore le cas l'année dernière. Nous avons fait un effort important sur la formation pendant quelques années. Nous partons maintenant sur un principe un peu différent et Muriel Leonardi est désormais entièrement en charge des poneys, children, juniors, et jeunes cavaliers. Le stage habituel de février a été supprimé pour donner plus de place à la compétition et qu'aucun choix entre stage et compétition ne doive être fait. Nous reprendrons les stages à la rentrée, en octobre avec des détections au nord et au sud de la France. Ensuite, un regroupement en décembre avec les couples pressentis pour le niveau international sera organisé. Pour ces stages nous ferons de l'évaluation et quand il y aura beaucoup de couples, Florence Lenzini viendra en soutien, comme en décembre dernier et comme nous le ferons probablement à Saumur. Pour les U25, nous avons cette année la chance d'avoir un peu plus de cavaliers dans cette catégorie d'âge. Un premier stage est programmé les 19 et 20 mars où nous regrouperons avec Jan Bemelmans les cavaliers ayant le projet de participer à ce circuit. Nous avons assisté aux ventes successives d'Hermès de Hus (voir ICI), Addict de Massa (voir ICI), Badinda Altena (voir ICI). Considérez-vous le dressage français comme affaibli ? La vente fait partie de la vie du cavalier de haut niveau. Il y a un contexte économique que nous connaissons et dont nous tenons compte. Aujourd'hui, des chevaux nés, élevés et dressés en France sont vendus et c'est bien, c'est aussi valorisant pour la France. Pour Badinda Altena c'est effectivement un regret de ne plus avoir un cheval de ce niveau dans l'équipe de France. C'est une réalité économique du sport équestre mais c'est aussi une satisfaction de voir les compétences françaises mises en valeur. La défiscalisation, le mécénat, sont des pistes évoquées par un certain nombre de cavaliers pour développer le soutien aux sports équestres. La constitution d'un service fédéral dédié ne pourrait pas être une piste à explorer ? L'année dernière à l’occasion de la Finale Coupe du Monde à Bercy, nous avons présenté un projet de fondation. Nous avons bien conscience que c'est difficile et que la fiscalité française n'aide pas forcément les propriétaires à investir dans les sports équestres. Avec Paris 2024, nous avons un bel objectif, il faut que nous soyons capables de nous en servir. Nous travaillons donc sur cette idée. Sur le plan de la communication, nous essayons aussi, grâce à nos circuits, de donner aux cavaliers des outils et des supports de communication. Le dressage n'est pas toujours une discipline bien connue et facile à médiatiser. crédit photo : FFE
- Charlotte Heering : Badinda est une Ferrari
Elle est la nouvelle propriétaire de Badinda Altena : Charlotte Heering s'est confiée à Dressprod. Sa première impression, ses objectifs, sa participation à des concours français ... c'est par ici : Avant d’acheter Badinda Altena, quel type de cheval cherchiez-vous? Je cherchais un cheval de Grand Prix international depuis environ 2 ans. Mais ce n'est pas facile à trouver ! Tout le monde cherche la même chose : entre 8 et 10 ans, prêt pour le Grand Prix, en bonne santé, avec un bon caractère. En fait, j’envisageais aussi d'acheter un cheval plus jeune mais très talentueux, même si c'est toujours risqué, car on ne sait jamais si un jeune cheval sera un cheval de Grand Prix avant qu'il ne le déroule. Avant qu'Andreas ne vous appelle, connaissiez-vous Badinda, avez-vous suivi sa carrière avec Pierre Volla ? Oui, j'en avais entendu parler et je l'avais vue plusieurs fois auparavant. Je l’ai vue en vidéo il y a quelques mois, mais à ce moment là, un de mes chevaux a été opéré des yeux et est tombé très malade à cause de ses médicaments (heureusement, il va bien maintenant). Donc, à l'époque, je n'ai pas engagé de démarches car elle était en France et je ne voulais pas prendre le risque de quitter mon cheval malade. Quels ont été vos impressions lorsque vous l'avez montée pour la première fois ? Elle est très sensible, extrêmement souple et avec énormément de puissance. En même temps, elle a un contact et une relation avec la main très légère et agréable. C'est comme une Ferrari ! Bien sûr, avec un cheval comme elle, il faudra un certain temps pour trouver les boutons qui conviennent. Quels sont vos objectifs avec Badinda pour la prochaine saison ? Pouvons-nous nous attendre à vous voir sur des concours français ? Je ne suis pas pressée et je vais prendre mon temps pour bien faire connaissance avec cette sensible demoiselle. Mes objectifs à long terme, bien sûr, sont d'intégrer l’équipe danoise et de participer aux grands championnats. Mais les cavaliers danois sont très forts actuellement, nous devrons donc travailler dur pour y arriver. Si nous en avons l'occasion, j'aimerais effectivement participer aux concours français ! Avez-vous discuté de Badinda avec Nathalie zu Sayn Wittgenstein, l’entraîneur de l'équipe danoise ? Non, en fait, je n’ai pas pu lui parler de Badinda, nous devions prendre une décision assez rapide, car d’autres clients étaient intéressés. Mais Andreas Helgstrand a tellement de connaissances et d’expérience dans ce domaine, qu'entre ses mains, nous nous sommes sentis «en sécurité». Badinda a un talent qui fait d'elle un cheval rare ! Tout le monde peut le constater ... J'espère maintenant que nous allons nous accorder et que nous pourrons danser ensemble ! Quelles sont les différences entre Bufranco et Badinda ? Badinda est encore chez Andreas pour quelques semaines, car j'ai des concours qui sont programmés avec mon autre cheval et des vacances au ski. Mais je vais y aller plusieurs fois pour m’entraîner avec lui. Je ne voulais pas la ramener chez moi alors que je n’étais pas là pour la monter. En fait, je n'ai monté qu'une seule fois Badinda, il est donc trop tôt pour vraiment la comparer avec Bufranco. Mais comme je l'ai dit, elle est très sensible et énergique, une vraie dame. Cela fait 7 ans et demi que je possède Bufranco, et je l'ai acheté à 5 ans. C'est toujours moi qui le monte, donc nous nous connaissons parfaitement. Il a beaucoup d'énergie, mais il n'est pas chaud. Il est extrêmement gentil et généreux dans le travail. Ce sont deux chevaux très talentueux et de grande qualité. Vous entraînez-vous avec Andreas ou avez-vous un autre entraîneur? Oui, je travaille avec Andreas et avec Thomas Sigtenbjerggaard son bras droit qui est lui aussi cavalier international. #BadindaAltena #PierreVolla
- Four Legends KS débute le Saint Georges
6 ème du Championnat du Monde des 5 ans, 4 ème du Championnat du Monde des 6 ans avec Marieke van der Putten, Top Price de la vente aux enchères Excellent Dressage Sales en 2016 pour 605.000 euros, un temps monté par Stephanie Kooijman, l'étalon de 9ans Four Legends KS débutait aujourd'hui le Saint Georges sur le concours national de Maasdijk avec Dominique Filion, la cavalière de Judy de Winter. Pour leurs débuts sur le Petit Tour, le couple s'impose avec une moyenne de 71,32 %. Le fils de Wynton, né d'une mère par Ferro, est également le demi frère de Le Formidable (Bordeaux*Ferro) couronné hier Champion 2019 des étalons KWPN. Four Legends, monté par Marieke van der Putten, l'ex-cavalière d'Edward Gal
- Jeux Olympiques de Tokyo, la course aux qualifications individuelles est lancée
Si une participation par équipe aux Jeux Olympiques de Tokyo se jouera cet été lors des Championnats d'Europe de Rotterdam, la Fédération Équestre Internationale vient également de publier son premier classement permanent olympique, établi après l'enregistrement des résultats du mois de janvier. Il permettra, d'identifier mois après mois, par groupe, les couples susceptibles de décrocher une place en individuels pour leurs nations. 14 places seront disponibles, soit 2 par groupe et 4 pour les groupes D et E. Le groupe B, dont fait partie la France, ne compte actuellement qu'une cavalière : la belge Isabel Cool ; un groupe qui viendra donc se compléter au fur et à mesure de la saison. Pour rappel, la FEI demande un minium de 2 fois 66 % de moyenne générale ; un pourcentage qui doit aussi être attribué 2 fois par 2 juges 5* d'une nationalité différente que celle du cavalier. Les résultats enregistrés en Grand Prix consolante jugé par 3 juges, ne sont par ailleurs pas pris en compte. Conditions complètes de qualification par équipe et en individuel ICI Classement permanent olympique ICI Classement permanent groupe B ICI
- Le Formidable (Bordeaux*Ferro), nouveau champion des étalons KWPN
Champion des foals en 2016, l'étalon Le Formidable (Bordeaux*Ferro) a confirmé sa qualité en remportant aujourd'hui le titre de champion des étalons KWPN 2019. Désormais âgé de de 3 ans, le jeune étalon n'est autre que le demi-frère de Four Legends KS (Wynton) vendu à Taiwan pour 605 000 euros lors de la vente aux enchères Excellent Dressage Sales en 2016, actuellement monté par Dominique Filion, la cavalière des écuries de Judy de Winter. Son père, Bordeaux, était déjà vainqueur de l'approbation des étalons KWPN en 2009. L'étalon par United et Gribaldi, prenait également en 2012 la 4 ème place du Championnats du Monde des 6 ans avec Eva Moller. En 2015, il participait avec Isabel Freese aux Championnats d'Europe de Göteborg. Vidéo ICI
- Apache labellisé « KEUR »
L'étalon KWPN Apache (UB 40*Krack C) a reçu le label « KEUR », décerné par son studbook lors du show des étalons de S'Hertogenbosch ; un titre obtenu lorsque la première génération de produits d'un étalon a au moins 7 ans. A aujourd'hui 14 ans, l'étalon monté par Emmelie Scholtens, et avec lequel elle participait aux Jeux Mondiaux de Tryon, est notamment le père des étalons labellisés Cum Laude, monté par Vai Bruntink, Grand Galaxy Win, Jovian, Hometown, Hero, Indian Rock, En France, 31 produits d'Apache sont enregistrés. #EmmelieScholtens
- Les groupes 1 et 2 dévoilés
Après l'annonce mi-janvier de son projet pour 2019/2024, la FFE a aujourd'hui publié sur son site la composition des groupes nouvellement créés. Les Groupes 1 et 2 rassemblent des couples en fonction de leurs performances sportives, dans le respect de la charte du sport de haut niveau de la FFE. Le Groupe 1 est la référence pour les sélections des rendez-vous majeurs notamment les championnats d’Europe et les Jeux olympiques. L’accès d’un couple au Groupe 1 est conditionné par la signature de la Convention JO. Celle-ci formalise l’engagement réciproque de la FFE avec les propriétaires de chevaux de haut niveau dans un but partagé d’ambition sportive. Le Groupe 2 permet un suivi personnalisé des meilleurs couples en devenir et le développement du vivier Ambition 2024. La composition des Groupes 1 et 2 est actualisée après chaque compétition de référence. source : FFE
- Isabell Werth, encore et toujours numéro 1 mondiale
Peu de changements au sommet de la hiérarchie mondiale : alors qu'Isabell Werth et Weihegold pointent toujours en tête, elles sont encore suivies par Laura Graves et Verdades qui les talonnent de 6 points seulement. L'allemande conserve également ses 3 ème et 4 ème places avec Bella Rose et Emilio 107. Après sa victoire dans le Grand Prix de Wellington la semaine dernière, l'américaine Kasey Perry Glass et son Dublet intègrent le top 10 et pointent aujourd'hui à la 8 ème place. Le suédois Patrik Kittel réalise quant à lui une jolie remontée avec Delaunay, passant de la 73 ème à la 10 ème place. Du coté des français, 47 ème le mois dernier, Morgan Barbançon et Sir Donnerhall II grimpent encore une marche, tandis que tous les cavaliers français présents dans le classement de la FEI remontent eux aussi de quelques places. Classement complet ICI
- Helen Langehanenberg aborde le Petit Tour avec Vayron (vidéo)
Déjà bien équipée avec Damsey FRH, Candy OLD et son étalon Tesla, Helen Langehanenberg débutait hier son géant Vayron (Vitalis) d'1m85, sur une épreuve préparatoire au Petit Tour réservée aux chevaux de 7 à 9 ans, lors du concours national de Ankum ; des débuts prometteurs puisque le couple s'impose avec une moyenne de 73,214 %. L'ancienne cavalière de Damon Hill prend également la seconde place de l'épreuve avec Frank Sinatra 7 (Fidertanz*Louis le Bon) à 70,159 %. Le podium est complété par Dorothee Schneider et Bella Laguna Old à 69,365 %.











