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5245 éléments trouvés pour «  »

  • Vers la fin de la limite d'âge des juges internationaux ?

    Si jusqu'à présent les juges internationaux peuvent officier jusqu'à l'âge de 70 ans, la Fédération Équestre Internationale réfléchirait actuellement à supprimer cette limite et à la remplacer par un système d'évaluation basé sur les compétences. Ingmar de Vos, le Président de la FEI, déclarait ainsi il y a quelques jours " je poursuivrai ma quête pour abolir la limite d'âge des officiels et la remplacer par un système d'évaluation basé sur la qualité et les compétences." Un groupe de travail de la FEI planche actuellement sur la question. Un certain nombre de juges 5*, comme les américains Axel Steiner, Ann Gribbons et Lilo Fore, préconisent ainsi un test annuel d'aptitude. La France compte aujourd'hui 10 juges internationaux en activité, dont 4 juges 5*, comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas et les Etats-Unis, et contre 6 pour l'Allemagne. Juges internationaux français : Marietta ALMASY,Kathy AMOS-JACOB, Annick DAUBAN, Lionel DU TRANOY, Isabelle JUDET (5*), Bernard MAUREL (5*), Anne PRAIN, Jean-Michel ROUDIER (5*), Raphaël SALEH (5*), Alban TISSOT, Sandrine TRIMBORN, Jean-Pierre TULOUP. crédit : Olaf Kosinsky source : dressage-news.com

  • Faut-il autoriser les protections en compétition ?

    Faut-il autoriser les protections en concours de dressage ? C'est à cette question que la néerlandaise Wendy Scholten a souhaité obtenir des réponses après la blessure en épreuve de sa jument de 5 ans. La cavalière sollicitait ainsi la semaine dernière de nombreux personnalités de la discipline et interpellait le KNHS : la Fédération Néerlandaise des Sports Équestres. Dans un post publié sur sa page facebook, Wendy Scholten milite donc en faveur de l'autorisation des guêtres antérieures, arguant que l'interdiction des protections est une règle ancienne qui doit aujourd'hui être remise en cause. Face à l'amélioration de la locomotion et de la puissance des chevaux de dressage, il n'est en effet pas rare que des atteintes soient constatées en sortie de piste ; des blessures qui mettent parfois fin prématurément à des carrières sportives, ou qui éloignent de longs mois certains couples des carrés de compétition.

  • Retour du CDI5* de Doha en 2019

    Initié en 2013, d'abord par un CDI4*, déprogrammé en 2018, la ville de Doha accueillera finalement à nouveau un CDI 5* du 7 au 9 mars 2019, dans les infrastructures d'Al Shaqab dépassant tous les superlatifs. Parmi les concours les mieux dotés de la planète, le CDI de Doha a notamment vu les victoires de Patrik Kittel, Isabell Werth ou Nathalie Sayn Wittgenstein, dans des reprises libres parfois gratifiées de 150 000 euros de gains. Les français Alizée Froment et Ludovic Henry faisaient eux aussi le déplacement en 2014 et 2015.

  • Jessica von Bredow-Werndl et son frère Benjamin lancent leur collection de textile

    Entraîneurs et cavaliers désormais bien connus, Jessica von Bredow-Werndl et son frère Benjamin Werndl lanceront dans quelques semaines leur propre collection de textiles équestres, en partenariat avec la marque Lamicell. « L'un des déclencheurs a été le cheval de notre logo », a ainsi déclaré Jessica von Bredow-Werndl. Conçu par un artiste il y a plus de 20 ans, le logo de la famille von Bredow-Werndl sera donc prochainement décliné : « avant tout, nous nous sommes concentrés sur les textiles destinés au cheval », explique Jessica von Bredow-Werndl, « mais il existera également des vêtements pour les cavaliers ». Couvertures, bandages, mais également culottes, polos et vestes softshell seront donc commercialisés. « Je fais les dessins avec un designer de Lamicell, c'est très amusant », a enfin ajouté la championne du monde par équipe « et nous testons minutieusement tous les produits : coupes, ajustement, propriétés d'entretien, fonctionnalité, c'est très important pour nous. » Plus d'informations seront disponibles : pendant le CDI de Frankfurt, prévu du 13 au 16 décembre et sur www.lamicell.de source : dressursport-deutschland.de #JessicavonBredowWerndl

  • Clinic d'Isabell Werth : l'intégral

    Join Me de Massa et Anne-Sophie Serre Diamond De Saint Val et Kirsten Brouwer Star De L'Ocean et Guillaume Recoing James Bond de Massa et Arnaud Serre

  • Débuts internationaux sur le Grand Prix pour Anna Kasprzak & Quarton

    Après la mise à la retraite officielle de Donnperignon avec qui elle participait à tous les championnats internationaux entre 2012 et 2017, Anna Kasprzak débutera aujourd'hui Quarton, son fils de Quaterback âgé de 9 ans, sur le Grand prix du CDI 3* organisé par les écuries Blue Hors. Pour son premier Grand Prix déroulé en septembre dernier sur une épreuve nationale, le couple obtenait un prometteur 72,9%. Anna Kasprzak peut également compter sur Rock Star 13 pour poursuivre sa carrière au plus haut niveau.

  • Rentrée suédoise pour Edward Gal

    Comme Isabell Werth, Sonke Rothenberger, Patrik Kittel ou Therese Nilshagen, Edward Gal retrouvera les terrains de concours avec Glock's Zonik lors du CDI de Stockholm organisé du 30 novembre au 2 décembre. 7 ème des derniers Jeux Mondiaux, Edward Gal et Glock's Zonik devraient ensuite poursuivre leur saison sur les étapes Coupe du Monde de Londres et/ou Mechelen, prévues la deuxième quinzaine de décembre. #EdwardGal #GlocksZonik

  • Débuts en Coupe du Monde pour Desperado et Emmelie Scholtens

    25 ème des Jeux Mondiaux de Tryon avec l'étalon Apache, son cheval de tête, la néerlandaise Emmelie Scholtens fera cette semaine à Stuttgart ses débuts sur le circuit Coupe du Monde avec un autre étalon, Desperado (Vivaldi*Havidoff). Après leur premier le Grand Prix réalisé lors de la Coupe des Nations de Uggerhalne au Danemark, dont ils prenaient la 3 ème place, Emmelie Scholtens et Desperado restaient cependant éloignés de la compétition depuis le CDI de Rotterdam en juin dernier. Ils seront accompagnés à Stuttgart de leur compatriote Madeleine Witte-Vrees en selle sur Cennin et Charmeur.

  • Caroline Rioche : montrer que la France à de bons chevaux de dressage

    Éleveuse de chevaux de dressage, naisseuse et copropriétaire de Diamond de Saint Val, Présidente de France Dressage, Caroline Rioche participait la semaine dernière au clinic d'Isabell Werth avec une quadruple casquette. Dressprod est parti à la rencontre de celle qui ne cache pas ses ambitions pour l'élevage français de dressage. Rencontre. La chose la plus importante pour moi était de voir un poulain que j'ai fait naître, sous la selle d'une des meilleures cavalières du monde pour les jeunes chevaux, présenté à la plus grande star du dressage international. C'était un véritable rêve éveillé. J'ai aussi eu, au travers du rôle de Présidente de France Dressage, la sensation de partager ce rêve avec tous les éleveurs français. Sylvain Massa, Jean-Michel Roudier et moi étions ainsi les ambassadeurs de celles et ceux qui font naître des poulains de dressage en France car nous savons ce que ça représente comme travail, comme difficultés. Cet événement, je l'ai donc vécu en ayant pleinement conscience de la chance qui était la mienne et en souhaitant à tous les éleveurs français de pouvoir la vivre un jour. Ce fut en tous cas un travail collectif, avec la Société Hippique Française : nous voulions montrer que la France à de bons chevaux de dressage, je pense que le pari est réussi. - Comment France Dressage a-t-il participé à cette venue d'Isabell Werth ? Avec Delphine Herbeau, la responsable de l'élevage au sein de la SHF, nous avons travaillé ensemble sur la partie opérationnelle de cet événement. Vincent Guilloteau a fait jouer son réseau et Jean-Michel Roudier nous a aidées à entrer en contact avec Isabell Werth. - Vous êtes Présidente de France Dressage depuis 3 ans. Quelles furent, à l'époque, les raisons de votre candidature ? J'élève depuis plus de 10 ans. Pourquoi ? En 2003 j'ai participé aux Championnats du Monde Jeunes Chevaux avec un cheval qui s'appelait Kashmir du Banco, un selle français. En allant à Verden, je suis arrivée sur une autre planète. Je me suis dit que je voulais élever de tels chevaux. Comme je n'avais pas de gros moyens, j'ai décidé de les faire naître. J'ai acheté la grand-mère de Diamond qui était pleine de sa mère. J'ai obtenu divers titres de championne de France et mon élevage s'est mis à fonctionner plutôt bien mais j'ai fini par me dire que la filière méritait plus d'organisation. Laure de St Priest s'en allait et, avec quelques personnes dont Didier Dupeyrat, nous nous sommes dit que cette association ne pouvait pas mourir. Nous avons donc souhaité nous investir en amenant un savoir-faire issu du terrain. - Quel bilan tirez- vous après 3 ans ? Quand nous sommes arrivés, l'association comptait 119 adhérents, nous sommes presque 300 aujourd'hui. La première chose que nous avons mise en place a été de n'ouvrir la Grande Semaine qu'aux poulains nés en France, pour reconnaître davantage le travail des éleveurs français. Nous nous sommes ensuite demandés quel avenir pouvait être proposé aux chevaux nés en France, quelle valorisation etc … Nous nous sommes donc rapprochés d'Yves Chauvin qui était très enthousiaste et qui avait déjà des idées pour le dressage. Il m'a demandé ce dont nous aurions besoin. Il est vendu à Saumur, puis à Lyon. Vincent Guilloteau a proposé d'organiser ce clinic. Une impulsion a été donnée par France Dressage et elle s'est développée avec la SHF. France Dressage est en tous cas composée d'une excellente équipée, bénévole, motivée et qui donne de son temps. - Quels sont les projets de France Dressage ? Nous allons continuer à développer et à accompagner les éleveurs en France en proposant des formations en régions. Nous allons aussi continuer à motiver les éleveurs à produire des chevaux de dressage, y compris des éleveurs de CSO pour qu'ils se lancent aussi dans cette aventure. Nous voudrions également développer la promotion des étalons de dressage et aider les étalonniers à mettre en place un circuit de promotion car c'est un des clés de voûte du système. Je suis persuadée qu'on peut avoir un cheval de dressage français, qui sera différent de ce qu'on trouve à l'étranger, mais avec nos qualités. C'est aussi ce qui a plu à Isabell Werth : avec les chevaux de l'élevage Massa, elle a vu des chevaux différents, mais qui l'ont bluffée. Je pense qu'on est sur la bonne voie. - Davantage d'étalons ne pourraient-ils pas être approuvés au selle français et labellisés France Dressage ? Aujourd'hui, ce sont des démarches qui sont à l'initiative de l'étalonnier. C'est en tous cas le dossier sur lequel nous travaillons. Nous voudrions aussi développer les shows d'étalons. D'ici septembre 2019 nous espérons pouvoir proposer de nouvelles choses pour la saison 2020. Il faut cependant savoir que les grands étalonniers européens ne sont pas forcément intéressés quand on leur propose la labellisation : certains ont refusé car nous ne sommes pas encore assez reconnus comme un studbook de dressage. C'est la raison pour laquelle il est important que les gens sachent qu'il y a désormais une section dressage du selle français : le SFD, qui identifie, au sein du studbook, les chevaux qui ont des prédispositions pour le dressage. - La Grande Semaine 2018 a été marquée par une vraie compétition entre le Haras de Hus, le Haras de Malleret et l'élevage Massa. En quoi ces 3 structures favorisent-elles selon vous le développement de l'élevage français ? Le Haras de Hus a été le premier. Il a aujourd'hui conservé ses meilleures poulinières et a donc un patrimoine génétique de qualité et des poulains intéressants. Tous les 3 ont un fonctionnement qui diffère de celui des petits éleveurs qui font naître un ou deux poulains par an. Grâce à ces structures, le processus est donc accéléré. Sans le Haras de Hus, nous n'aurions pas avancé si vite, l'élevage français a été tiré vers le haut. Aujourd'hui c'est très bien que l'élevage Massa et le Haras de Malleret arrivent : plus on a de nombre, plus on améliore la qualité. Ce sont donc des locomotives.

  • !EXCLUSIF! Jeunes Talents SHF : l'interview d'Isabell Werth

    Pour la première fois en France, Equita'Lyon accueillait la semaine dernière un événement exceptionnel : un clinic d'Isabell Werth, organisé par la Société Hippique Française, en partenariat avec France Dressage. À l'issue de leurs séances avec la championne, Anne-Sophie et Arnaud Serre, Kirsten Brouwer et Guillaume Recoing affichaient tous une satisfaction aussi unanime que remarquée ; un sentiment partagé et confirmé par Vincent Guilloteau, qui s'investissait quant à lui dans l'organisation de cette rencontre destinée à évaluer les meilleurs jeunes chevaux français. Toujours très disponible, celle qui était encore couronnée cette année aux Jeux Mondiaux de Tryon, a accordé quelques minutes à Dressprod et répondu à nos questions : crédit photo : Caroline Rioche de gauche à droite : Caroline Rioche, Isabell Werth et Marina Caplain Saint André - Pourquoi avez vous accepté d'animer ce clinic, destiné aux meilleurs jeunes chevaux français ? "Je suis toujours très intéressée de voir des jeunes chevaux, quel que soit le pays du monde. J'avais effectivement été prévenue que ceux que je verrais étaient les meilleurs jeunes chevaux français, dont bien sûr, je me devais d'y porter attention." - Quels ont été vos impressions sur les chevaux qui vous ont été présentés ? "Leur qualité était vraiment excellente." - Est-ce qu'un ou plusieurs des chevaux qui vous ont été présentés pourraient avoir leurs places dans votre piquet ? "Il y en a quelques uns que j'aurais bien voulu ramener avec moi à la maison !" - Seriez-vous partante pour renouveler cette expérience l'année prochaine ? "Il faudra que je vois en fonction de mon programme et de mon emploi du temps l'année prochaine, mais s'il y a une possibilité, oui, assurément !" - Quand vous recherchez un jeune cheval, à quelles qualités êtes vous particulièrement attentive ? "Je cherche avant tout un cheval très élastique avec 3 très bonnes allures, mais aussi le petit truc en plus, qui me permettra de me sentir connectée avec lui. Pour que je choisisse un cheval, il faut que dès que je le vois, il me fascine." Rendez-vous est donc, peut-être, pris pour l'édition 2019 d'Equita'Lyon. Après sa victoire à Lyon, Isabell Werth continue désormais sa route sur le circuit Coupe du Monde. Elle sera la semaine prochaine au départ de l'étape de Stuttgart et maintient encore le suspens sur la monture qui l'accompagnera. Bella Rose pourrait ainsi participer à la première étape Coupe du Monde de sa carrière

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