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- Premier stage pour l'équipe de France de dressage au Parc équestre fédéral du 8 au 10 avril
À moins de 500 jours de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, les cavaliers tricolores ont rendez-vous pour trois jours de stage au Parc équestre fédéral à Lamotte-Beuvron du 8 au 10 avril prochains. Objectif pour l’équipe fédérale d’encadrement : entretenir la dynamique insufflée depuis quelques mois, continuer à voir grandir le groupe France et l’aider à se construire et se structurer autour de la performance. A moins de trois semaines de ce rassemblement, Laurent Gallice, conseiller technique national, en charge du dressage depuis début 2023, fait un point d’étape. Il revient sur son rôle au sein du groupe France et sur les objectifs de ce stage à courts et moyens termes. Quel est votre rôle au sein du groupe France ? « J’ai un rôle de manager au sein de ce groupe. J’apporte mon aide au sélectionneur Jean Morel sur l’organisation du haut niveau. L’idée c’est d’être plus intelligents ensemble, de voir plus de choses, d’apporter plus de présence pour les cavaliers et les propriétaires. » Après trois mois en poste, quel constat dressez-vous ? « On s’est beaucoup déplacés avec Jean pour rencontrer les cavaliers chez eux et en concours. Je trouve que nos cavaliers sont aussi bons que les cavaliers étrangers. En revanche, je crois que, mise à part Morgan Barbançon qui sort beaucoup en compétition, les autres manquent de pratique en concours. Il faut encore renforcer l’expérience de chacun pour mieux présenter les reprises et ne pas perdre de points bêtement. Ce n’est pas un problème de technique, même s’il y a toujours des choses à améliorer. Je crois sincèrement que le premier levier pour avoir une progression nette de nos couples, c’est la présentation des reprises. Et pour s’améliorer sur ce point, il faut davantage engranger d’expérience en compétition et s’appuyer sur le collectif. » Quels sont les objectifs du stage ? « Ce stage a plusieurs objectifs. En premier lieu, nous voulons ouvrir la porte à tout le monde. L’aventure olympique est à portée. Au final, quatre couples iront à Versailles, mais rien n’est encore joué. On a en France des cavaliers expérimentés, qui ont fait de grands championnats. On est contents qu’ils viennent nous montrer leur chevaux, et qu’ils aient envie de prendre le chemin des concours. C’est cette dynamique qui fera progresser toute l’équipe. Le second objectif est de commencer un travail sur la cohésion d’équipe. Nous voulons créer une dynamique de groupe et que chacun prenne conscience qu’il a sa place au sein du collectif. L’idée est de faire progresser tout le monde, pas seulement trois ou quatre qui iront aux championnats. Les entraîneurs privés des cavaliers sont eux aussi conviés à ce rassemblement. On veut vraiment emmener tout le monde dans un cycle vertueux. » Ces trois jours vont s’articuler autour de plusieurs pôles : -Des séances de préparation physique, une activité de préparation mentale pour travailler sur la cohésion de groupe, une analyse psychomotrice de chacun pour mieux comprendre son propre fonctionnement et celui des autres pour communiquer plus efficacement et sereinement, la mise en place d’un accompagnement par un podologue/posturologue pour les cavaliers qui le souhaitent, des check up des chevaux avec le vétérinaire et le maréchal ferrant de l’équipe de France… -Des séances de travail à cheval seront évidemment au programme, avec la présence du Belge Jan Nivelle comme intervenant technique (voir ICI), aux côtés du sélectionneur national Jean Morel et de Laurent Gallice. -Le dernier jour du regroupement sera l’occasion pour les cavaliers de présenter leur reprise en condition devant des juges internationaux qui feront également le déplacement. Ces reprises seront filmées et agrémentées des commentaires de chaque juge en direct pour donner une base de travail complémentaire aux cavaliers. Une douzaine de cavaliers sont conviés par la FFE, parmi eux les trois cavaliers de l’équipe de France de Tokyo : Alexandre Ayache, Morgan Barbançon Mestre et Maxime Collard, les cavaliers des Championnats du Monde de Herning Pauline Basquin, Antoine Nowakovski et Corentin Pottier, les cavaliers olympiques Stéphanie Brieussel, Jessica Michel et Marc Boblet, ou encore Arnaud Serre, Guillaume Lundy CNE et Bernard Bosseaux. crédit photo : FFE/PSV
- Actuelle de Massa vendue
Un peu plus de trois mois après que Dressprod ait dévoilé le nouveau couple formé par Actuelle de Massa et Malin Whalkamp Nilsson la cavalière de Patrik Kittel (voir ICI), la fille de Pastor Gub et crack de Sylvain Massa a été vendue : elle évoluera désormais sous couleurs suédoises ; une commercialisation qui intervient quelques jours après celle de Bambino de Massa aux États-Unis (voir ICI). Championne de France Pro Élite 2020 avec Anne Sophie Serre, représentante tricolore aux Championnats du Monde des 6 ans en 2016 et auteure de 8 marseillaises en CDI, la talentueuse baie de 13 ans qui participait activement à qualification française pour les Jeux Olympiques de Tokyo grâce à ses performances sur l'étape Coupe du Monde de Malines et notamment un 78.370% sur la reprise libre, a été acquise par Beata Söderberg. Élève de Patrik Kittel et proche d'Andreas Helgstrand, la cavalière de 27 ans, ex-propriétaire de la triple Championne du Monde Fiontini, Beata Söderberg commençait sa carrière internationale en 2015 sur les Jeunes Cavaliers avec Sitana. Elle faisait ensuite l'acquisition de : Harmony's Fiorano (ndlr : présenté jusqu'alors par Susan Pape) en 2017 avec qui elle évoluait sur le circuit U25 jusqu'aux Championnats d'Europe de San Giovanni in Marignano deux ans plus tard, de Heuberger TSF (ndlr : que montait Annabel Balkenhol par le passé et avec qui elle s'imposait sur le CDI 5* de Munich) grâce auquel elle débutait le Grand Prix en CDI à Mariakalnok en 2021, ou encore de Fürst William (ndlr : Champion d'Allemagne en 2015 avec Anna Sophie Fiebelkorn, puis, entre autres, confié à Severo Jurado Lopez et Beatrice Buchwald avec qui il était vice-Champion d'Allemagne des 5 ans) et Talento 4 ; deux chevaux avec lesquels elle concourrait sur le Grand Prix en Allemagne jusqu'à l'année dernière. Beata Söderberg est actuellement aux portes du Grand Prix avec Jimbrere B, un fils de Bordeaux et Jazz de 9 ans issu de la même grand mère que l'étalon Bon Bravour. source : Dressprod (reprise autorisée pour les sites d'actualités EXCLUSIVEMENT sous condition IMPÉRATIVE D'AJOUT DU LIEN CLIQUABLE d'origine >> Article L122-5 du Code de la propriété intellectuelle ...) reprise NON AUTORISÉE pour les pages Instagram à vocation "pseudo" médiatique. Article L.111-1 du Code de la propriété intellectuelle : « l’auteur d’une œuvre de l’esprit (ndlr : dont les journalistes font partie ... !) jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral ainsi que des attributs d’ordre patrimonial… » source : Dressprod / crédit photo : coll privée
- Les écuries Blue Hors parient sur le sang de Don Juan de Hus
Malgré sa disparition il y a bientôt 6 ans, Don Juan de Hus continue de faire parler de lui régulièrement grâce à la qualité de sa production. Outre ses nombreux produits en France, à l'étranger aussi les fils et filles de l'alezan par Krack C et Jazz se font toujours remarquer : les célèbres écuries danoises Blue Hors viennent ainsi de faire l'acquisition de Solution Unik, un fils de Revolution né d'une mère par Don Juan de Hus. Né à l'élevage Unik, Solution Unik fait partie des 7 étalons approuvés Premium au studbook DWB il y a 10 jours. source : Ridehesten
- Camille Judet Chéret : nous allons participer au CDI 4* d’Aix La Chapelle
Ils sont LA surprise de ce premier trimestre 2023 : après des débuts en CDI en janvier à Exloo, Camille Judet Chéret et Herelja Higgins se distinguaient début mars avec deux 6 èmes places remarquées sur le CDI 4* de Lier acquises grâce à deux reprises à 70.869% et 70.553% ; des résultats qui leur permettent de venir enrichir le vivier de couples qui pourraient prétendre à une sélection pour les Championnats d'Europe de Riesenbeck en septembre. L'histoire du hongre par Glock's Johnson, ses projets pour les mois à venir, le sport de haut niveau et les JO de Paris 2024 : Dressprod fait le point avec Camille Judet Chéret. Peu d'informations existent sur Herelja Higgins. Pouvez-vous nous raconter son histoire et pourquoi il est arrivé sous votre selle ? Je reconstitue petit à petit un peu de l’historique d’Higgins. Nous avons eu le plaisir d’être mis en relation avec ses éleveurs néerlandais, M. et Mme Wagemakers, qui ont toujours suivi le cheminement du cheval. D’ailleurs, ils nous accompagnent à chacune de ses sorties en compétition ce qui est vraiment sympathique. J’aime l’idée que le parcours d’un cheval soit le réel fruit du travail et l’espoir de toute une équipe. Higgins a participé à une compétition à l’âge de 4 ans sous la selle de Kim Leduc. Puis il est passé dans l’écurie de Kirsten Brouwer avant de rejoindre celle de notre entraîneur Norbert van Laak. En 2022, il a participé à une épreuve de niveau Amateur 1. Cela résume son expérience en compétition avant son arrivée chez nous. La propriétaire d’Higgins souhaitait le vendre et Norbert a pensé que ce cheval pourrait me convenir. Nous en avons donc fait l’acquisition en copropriété avec notre partenaire et amie Françoise Bourgeois déjà impliquée avec nos chevaux Vicomte de Reyves et Maranello. Son inexpérience en piste a-t-il été source de questionnement au moment d'envisager de le voir intégrer votre piquet ? Il n’y a eu aucune hésitation. Nous avons tous eu un coup de foudre pour le cheval et la certitude qu’il était le bon. Norbert participe à mon entraînement depuis que j’ai dix ans, à poney d’abord puis dans les catégories Jeunes avant d’atteindre le Grand Prix. Lorsqu’il a dit qu’il avait un cheval pour moi, je savais que cela collerait parfaitement. Tant sur le plan technique que sur le plan du tempérament, Higgins et moi fonctionnons, je crois, très bien ensemble. Nous nous sommes trouvés. Je n’avais pas une seconde imaginé que nous serions si performants si vite en international. Le cheval connaissait déjà tous les mouvements du Grand Prix mais il y avait encore un peu de chemin à parcourir avant de tout mettre bout à bout et de dérouler la reprise. J’avais imaginé une chronologie plus espacée dans le temps mais le cheval a progressé de manière très linéaire, le couple s’est fait très vite. J’ai rapidement découvert un cheval courageux et généreux en piste. Son inexpérience et le fait qu’il soit encore vert à ce niveau ont été largement compensés par sa bonne volonté et son talent. Sur quels concours envisagez-vous la suite de la saison ? On image qu'après vos résultats enregistrés à Lier, les Championnats d'Europe de Riesenbeck sont dans votre viseur … Nous allons participer au CDI4* d’Aix La Chapelle fin mars puisque nous avons reçu une invitation de l’organisateur permettant d’y inscrire Higgins en plus des trois couples initialement sélectionnés par la Fédération Française d'Equtiation. Si nous, confirmons nos bons résultats, j’espère que nous aurons à nouveau l’opportunité de sortir à l’étranger (ndlr : après le CDI3* d’Exloo aux Pays-Bas et le CDI4* de Lier en Belgique) afin de continuer à se confronter à une concurrence de qualité comme nous avons essayé de le faire avec tous nos chevaux depuis le début de l’année. Évidemment, plusieurs beaux CDI sont également programmés en France prochainement et nous serons honorés d’y participer si nos résultats le justifient et que la FFE nous sélectionne. Avant tout, nous souhaitons respecter l’évolution de chaque cheval et construire une saison optimale pour chaque couple. Cela a été le cas l’an dernier avec Gotilas et c’est le cas aujourd’hui avec Higgins. Les chevaux nous dictent le plan. Si cela aboutit à une sélection en équipe de France parce que le cheval est prêt, qu’il fait partie des plus performants et qu’il est choisi par le staff, alors nous nous tiendrons prêts, tout est en place, notre système est construit à cette intention. Dans le cas contraire, notre motivation et nos efforts resteront intacts et nous continuerons notre évolution vers de nouveaux objectifs. Quels sont, selon vous, les points sur lesquels il doit encore progresser ? La plus grande force d’Higgins est, me semble-t-il, son homogénéité. Intrinsèquement, il n’a pas vraiment de point faible. Il a trois bonnes allures et une facilité remarquable pour se rassembler. Le travail piaffe/passage est indéniablement l’un de ses plus grands atouts et finalement, nous ne l’avons que très peu travaillé jusqu’ici, plus occupés à nous familiariser l’un avec l’autre sur l’ensemble des mouvements. Avec Higgins, j’ai l’impression de pouvoir avancer tous mes pions en même temps. Pour l’instant en piste tout est encore flottant, nous manquons d’assurance et de précision ce qui est normal étant donné que nous ne formons un couple que depuis six mois. Higgins doit prendre de la force et de l’expérience pour affronter la piste avec davantage d’aplomb et je dois trouver tous les « boutons » pour le guider de manière plus efficace. La marge de progression est conséquente, je pense qu’il sera à terme capable d’augmenter d’un point la note à chacune des figures. En sortant de son troisième Grand Prix international à Lier, nous obtenons un beau 70,8% alors que je n’ai eu l’impression de contrôler à 100% que trois figures sur l’ensemble de la reprise ! Cela est encourageant pour la suite. C’est une gymnastique globale visant à renforcer le cheval dans sa musculature profonde qui sera la clé de son évolution. Nourrissez-vous un projet Paris 2024 avec ce cheval et Norbert van Laak ? Le projet des Jeux Olympiques de Paris existe déjà avec Norbert autour de Corentin et Gotilas. Néanmoins, la motivation première est la progression technique et l’intégrité physique et morale des chevaux et cavaliers. Une sélection n’est que la cerise sur le gâteau, pas le moteur de nos efforts quotidiens. Si nous sommes responsables de nos résultats, une sélection en équipe de France ne dépend pas que de nous mais aussi des performances des autres couples et de la FFE. Il est donc important pour nous que le projet sportif ne repose pas seulement sur une échéance mais qu’il s'inscrive dans le temps. On ne peut pas réduire la carrière entière d’un sportif de haut niveau à une olympiade, même si nous fournissons tous les efforts nécessaires pour tendre vers ce but. Des investissements considérables, tant financiers que structurels, ont été mis en place en ce sens. Il est trop tôt pour dire si Higgins et moi serons capables de prétendre à une sélection olympique l’an prochain. En tout état de cause, d’un commun accord avec sa copropriétaire et Norbert van Laak, la propriété du cheval a été sécurisée pour le sport car nous croyons en son potentiel pour atteindre le plus haut niveau. Corentin et vous évoluez désormais tous les deux à haut niveau. Est-ce une source de complexité dans l’organisation de vos activités de commerce ou au contraire un facteur de développement ? Concourir au plus haut niveau est indéniablement un moteur considérable pour notre activité professionnelle. Cela apporte encore davantage de crédibilité et légitimité à chacune de nos démarches. Pour l’entraînement et le commerce à l’étranger , nos deux axes de développement principaux, il est indispensable de performer sur la scène internationale. Évidemment, nous avons déjà la chance de porter un héritage favorable avec Pamfou Dressage qui depuis 1978 rayonne à travers le monde grâce notamment au travail de ma mère Isabelle. Nos résultats en compétition justifie le bien fondé de la succession. Nous avons des clients et des salariés de toutes les nationalités basés à Pamfou Dressage : qatari, suisse, indiens, autrichiens, singapouriens, norvégiens, allemands, polonais, américains … ce rayonnement international accompagne notre développement de manière exponentielle. Nous préparons deux cavaliers pour les Jeux Asiatiques de 2023. L’an dernier nous avons vendus des chevaux dans plus de quinze pays différents. Nous avons récemment animé plusieurs stages aux États-Unis ; le mois prochain nous nous rendrons à nouveau en stage en Inde et à Singapour ; cette semaine nous avons reçu à Pamfou des clients japonais et argentins. Nous collaborons avec de nombreux professionnels en France qui font confiance à notre expertise pour commercialiser leurs meilleurs chevaux. Dans les jours qui viennent, notre nouveau site internet devrait être mis en ligne. Il viendra, je l’espère, consolider de plus belle notre système commercial. À la maison, nous avons mis en place un système et une équipe permettant à la structure de tourner tout à fait normalement durant nos absences. Nous comptons une dizaine de salariés pour trente cinq chevaux dont deux cavaliers en plus de Corentin et moi. Le tout est de fixer clairement des objectifs pour l’entreprise et de pérenniser un système économique viable. crédit photo : DigiShots
- Badinda Altena prend cette fois la direction des écuries de Jessica von Bredow Werndl
Nouvel épisode du côté de Badinda Altena : 5 semaines après son arrivée chez Cathrine Dufour (voir ICI), l'ex-complice et monture olympique de Pierre Volla de 17 ans a finalement été revendue à Celina Bådstangen. Âgée de 23 ans, ex-étudiante en finances à Londres, la cavalière norvégienne basée en Allemagne chez Jessica von Bredow Werndl, chez qui elle arrivait grâce Stefan Münch (ndlr : l'ex-entraineur de la championne germanique), débutait sa carrière internationale en 2022 sur les épreuves U25 du CDI hongrois de Mariakalnok avec Lacoste 126, le hongre avec lequel Raphael Netz était Champion d'Europe U25 en 2019. Celina Bådstangen concourrait aussi en épreuves nationales outre-Rhin avec Arezzo 23, un fils d'Arpeggio qu'elle présentait jusqu'au Grand Prix. crédit photo : FFE/PSV
- Un nouveau CDI français passe à la trappe
Déjà amputé du CDI 3* de Mâcon, prévu du 18 au 20 août (voir ICI), c'est un autre concours de dressage international organisé en France qui passe lui aussi à la trappe et disparait du calendrier : le CDI 3* de Nancy ; un évènement jusqu'à présent programmé du 11 au 14 mai, dans les installations du haras de Rosières aux Salines. Outre les rendez-vous déjà installés dans le calendrier au Mans, à Nice, Crozet, Compiègne, Jardy, Deauville et Lyon, seul le CDI 5* de Fontainebleau, du 19 au 23 avril, fera finalement office de nouveauté : porté par l'équipe de GL Events de Sylvie Robert, déjà organisatrice du parfaitement rodé salon Equita Lyon, ce rendez-vous sera d'ailleurs un "Test Event" pour préparer l'organisation des épreuves d'équitation des Jeux Olympiques de Paris. source : Dressprod / crédit photo : Pixabay
- Hilus MHB de retour au Danemark
Hilus MHB, le fils de Glock's Johnson et Don Primero que montait Annabella Pidgley sur les Juniors en 2021 est de retour au Danemark. Débuté en compétition en 2016 sur les 4 ans par Mikaela Alderin, le SWB né chez Madeleine Karlsson & Fredric Spång représentait la Suède en 2018 aux Championnats du Monde des 6 ans où il proposait deux reprises à 71.80% et 69.80%. Acquis par la famille Pidgley, il intégrait le piquet de Cathrine Dufour qui le présentait à 4 reprises en compétition en 2020 : ils remportaient notamment un Saint Georges à 74,21%. Annabella Pidgley en reprenait les rênes en compétition au printemps 2021, d'abord sur des épreuves nationales au Royaume-Uni puis sur le CDI de Wellington Heckfield en mai de la même année : après une reprise Équipe à 69.040%, ils étaient éliminés sur la reprise Individuelle. Le bai était finalement confié à Charlotte Dujardin qui le montait sur le Petit Tour (vidéo ICI) et avec laquelle : il obtenait jusqu' 80.15% sur un Saint Georges déroulé à Hartpury en janvier 2022 et dominait le CDI de Wellington Heckfield en juin dernier. Ils concourraient pour la dernière fois en septembre, sur le Championnat national qu'ils remportaient. Hilus MHB est désormais chez Andreas Helgstrand et monté par Eric Guardia Martinez : l'espagnol de 32 ans participait à 3 reprises aux Championnats du Monde Jeunes Chevaux, notamment avec Join Me de Massa en 2019. Eric Guardia Martinez & Hilus MHB seront dimanche au départ d'une Inter II organisée à Aarhus.
- Grand National de Jardy
Du 30 mars au 2 avril, le Grand National retrouve les Hauts de Seine pour son étape de Jardy sur laquelle s'affronteront : Alizée ROUSSEL & FIGO DE HANSEZ Ludovic HENRY & ROMEO Bernard BOSSEAUX & RILKADORA Z Maeva HOANG & FURSTENTIME Gilles SIAUVE & FENETON Barbara CLEMENT KLINGER & BOLERO DU COUSSOUL Sophia MOREAU & ENIGMATIC W Elia DOMINGUEZ & GOLIAS DO PENEDO Virginie KRIEGEL & DICKENS Léa GRANGE & SOCRATE COSTE ROUSSE Anne Laure DEGUILHEM & HAWAI LH Ludovic CHERON & ZIDANE Livia GALLEGO & CALYPSO DE MASSA Charlotte CHALVIGNAC & FANGARIFAU Patricia COUDURIER & QUARTET LH Catherine HENRIQUET & DIABEAU DU COUSSOUL Lena THOUVENIN & DIAMONDGIO LTH DRESSVALUE Séverine PACHOUD & DESPERADO Maxime COLLARD & CUPIDO PB Jean François LAGARDE & GOYA Pauline GUILLEM & LUCKY GOLD 3 Céline MICHAUD & GESSO Sixtine GLANNAZ & UDJAZZA MAY Marc BOBLET & DOUGLAS Alizée ROUSSEL & BEL AMOUR
- Wim Verwimp de retour à la compétition
Le belge Wim Verwimp est de retour à la compétition après 8 ans passés loin des carrés de dressage. Membre de l'équipe belge des Championnats d'Europe de Turin en 2007 et Windsor en 2009 avec Maxwil V, le cavalier de 55 ans participait aussi en 2000 aux Championnats du Monde des 6 ans avec VPS Melvin V dont il terminait 14 ème. Bien qu'il ait aussi concouru sur le Grand Prix avec Neversfelde Feuer, Ravel, Sante et Pari Lani avec qui il foulait pour la dernière fois les terrains de CDI en 2014 à Kapellen, Wim Verwimp se faisait depuis discret en concours puisqu'il ne présentait que Wild Diamond, une fois, sur un Grand Prix national organisé à Massenhoven en janvier 2015. Depuis cette date, il se consacrait à l'entrainement de ses élèves et notamment Fanny Verliefden et sa fille Jorinde qui participera cette année à sa première Finale Coupe du Monde (voir ICI), mais également à l'organisation des CDI de Lier. Depuis le début de l'année, Wim Verwimp est néanmoins de retour à la compétition avec Escobar, un hongre de 14 ans par Serano Gold et Rhodium. Le KWPN, débuté en compétition en 2021 par Jorinde Verwimp qui le montait jusqu'en décembre dernier, lui permettait de prendre la 3 ème place à 66,250% d'un Saint Georges organisé à Dentergem début février, suivie de la 4 ème à 69,191% à Turnhout il y a un mois. Ils étaient enfin aujourd'hui 11 èmes à 67.280%, à nouveau à Turnhout.
- Alexandre Ayache & Jolene 3 èmes de la reprise libre du CDI 3* d'Ornago
Le week-end s'achève doucement pour le clan tricolore à Ornago avec une nouvelle bonne performance : celle d'Alexandre Ayache et sa Jolene. Comme dans le Grand Prix (voir ICI), c'est l'allemand Franz Trischberger qui signait tout à l'heure le meilleur résultat : 3 ème en 2021 de la reprise libre avec son DSP James Bond, le cavalier germanique s'impose cette fois avec ce hongre par Glock's Johnson après une reprise notée à 76.610%. Il s'agit de leur nouveau record personnel et de leur seconde victoire en international à ce jour. A la seconde place, on retrouve la suissesse Andrina Suter et son hongre irlandais de 13 ans par Flanagan jamais sorti en international ; une première libre marquée d'un 74.355%. Seuls français au départ, Alexandre Ayache & Jolene complètent le podium à 73.880% : il s'agit de leur nouveau record personnel ; un score de référence rendu possible grâce à 3 juges qui les évaluaient à plus de 75%. Du côté des autres épreuves, Paola Callet & Quickly des Paluds remportaient tout à l'heure l'Indivuelle Children à 77.676%, devant Baptiste Volla Pelardy & Jeronimo de Massa à 71.421%.
- Ornago continue de réussir aux Jeunes tricolores
Du côté de l'Italie et des protégés de Muriel Leonardi, les résultats continuent d'être au rendez-vous, notamment chez les Jeunes Cavaliers; emmenés par Mado Pinto (voir ICI). Après s'être déjà attribuée la reprise Équipe, la jeune femme ne faisait encore qu'une bouchée de la reprise Individuelle avec son fidèle Hot Bit de la Gesse, cette fois grâce à 71.225%, à un cheveu de leur record personnel enregistré l'année dernière à Compiègne. Mado Pinto plaçait à nouveau hier le jeune Joolz de la Gesse second, à 70.245% : l'alezan de 9 ans s'imposait déjà à 5 reprises depuis la début de sa carrière internationale il y a deux ans. Toujours chez les Jeunes Cavaliers, Alexandre Chéret étaient également 4 ème avec Doruto à 67.941%. Chez les Children, Paola Callet & Quickly des Paluds étaient eux seconds de la reprise Équipe grâce à l'excellente moyenne de 77.175%, tandis que Ninon Dupuy Pelardy & Don Amour de Hus prenaient la 4 ème place à 71%. Sarah Lopez & Diablo de Saint Val (67.650%) et Alexandre Chéret & Bamona (67.564%) étaient au coude à coude dans le Grand Prix U25 remporté par Selina Söder & Zaire E à 70.726%. A noter également, sur le Saint Georges, la 4 ème place de l'allemande Amelie von Harsdorf & Daydream d'Arion : la cavalière de 33 ans, employée de Jessica von Bredow et Benjamin Werndl, débute cette semaine sa carrière internationale avec ce hongre par Don Diamond propriété d'Isabelle Gayot qui le montait aux Championnats du Monde Jeunes Chevaux en 2017 et jusqu'en niveau Pro 1 l'année dernière où ils étaient d'ailleurs 4 èmes du Championnat de France. Associé à celle qui se formait aussi chez Klaus Balkenhol, l'alezan de 11 ans né chez Isabelle Furlanetto obtenait un 69.069%. crédit photo : FFE/PSV
- Un nouveau consultant technique pour l'équipe de France de dressage
Alors que les cavaliers de dressage tricolores enregistrent ces derniers mois des résultats encourageants, emmenés notamment par Morgan Barbançon, Pauline Basquin et Corentin Pottier, la Fédération Française d’Équitation a décidé de faire appel aux compétences d'un nouveau consultant technique ; une information que Laurent Gallice, le nouveau directeur de la discipline, confiait à Dressprod en janvier dernier (voir ICI). Contacté hier par Dressprod, Jean Morel, le chef d'équipe et sélectionneur du dressage, confirmait et dévoilait le nom de celui qui apportera son expertise technique aux cavaliers de l'équipe de France : Jan Nivelle. Entraîneur respecté, Jan Nivelle n'est pas sans déjà connaître les cavaliers français puisque, outre un stage déjà organisé en mai 2022 par la FFE, il faisait travailler ces derniers mois ou dernières années : Morgan Barbançon, Karen Tebar, Stéphanie Brieussel, Charlotte Chalvignac Vesin, Bernard Bosseaux ou encore Pierre Volla. Côté étrangers, le belge d'origine, installé non loin de Krefeld en Allemagne participait, entre autres, à la formation de : Sabine Schut-Kery, Severo Jurado Lopez, Johan Zagers (ndlr : membre de l'équipe belge des Championnats d'Europe de Hickstead en 2003 et Rotterdam en 2011), Jana Freund (ndlr : notamment 7 ème des Championnats du Monde des 6 ans en 2014), Beata Stremler (ndlr : vue aux Championnats d'Europe de Rotterdam en 2011, aux JO de Londres et aux JEM en 2014), David Engelen (ndlr : entre autres membre de l'équipe belge des Championnats d'Europe de Turin en 2007), Maike Mende (ndlr : Championne d'Europe Poneys par équipe en 2014 et depuis performante jusqu'au Grand Prix en Allemagne - voir ICI) ou Philippe Jorissen (ndlr : membre de l'équipe belge des Championnats d'Europe de Hagen en 2005, Rotterdam en 2011, Herning en 2013 et des Jeux Mondiaux de Lexington en 2010), pour n'en citer que quelques-uns ; il occupait aussi les fonctions d’entraîneur des jeunes espagnols. Jean Morel expliquait ainsi « Jan Nivelle va discuter avec l’entraîneur de chaque cavalier : c'est quelqu'un qui fait l'unanimité auprès des cavaliers. Nous allons donc leur apporter ce complément au travers de sa participation aux regroupements fédéraux que nous organisons avec l'équipe de France. Jan Nivelle ne cherche pas à tout révolutionner, il est au contraire dans le partage d'idées : il n'occupera donc pas le poste d’entraîneur national mais aura davantage le rôle de conseiller. Il n'est donc pas exclu qu'il soit présent lors des grands rendez-vous». Jan Nivelle sera donc présent au premier regroupement fédéral, organisé à Lamotte Beuvron du 8 au 10 avril. source : Dressprod (reprise autorisée pour les sites d'actualités EXCLUSIVEMENT sous condition IMPÉRATIVE D'AJOUT DU LIEN CLIQUABLE d'origine >> Article L122-5 du Code de la propriété intellectuelle ...) reprise NON AUTORISÉE pour les pages Instagram à vocation "pseudo" médiatique. Article L.111-1 du Code de la propriété intellectuelle : « l’auteur d’une œuvre de l’esprit (ndlr : dont les journalistes font partie ... !) jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral ainsi que des attributs d’ordre patrimonial… » crédit photos : Rose Harang / coll privée crédit photo : FEI / Leanjo de Koster