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- Disparition de Grégoire Naslin, co-fondateur des écuries First Step Horses
C'est hier, dans la soirée, que la disparition de Grégoire Naslin, le mari de la cavalière belge bien connue en France Larissa Pauluis notamment pour son succès sportif avec son étalon First Step Valentin et ses victoires en Championnats de France 4,5 et 6 ans, était annoncée. Selon le site horseman.org, Grégoire Naslin aurait été victime d'un arrêt cardiaque. Co-fondateur et propriétaire avec son épouse des écuries First Step Horses, très engagé dans la promotion et le développement du studbook SBS, Grégoire Naslin était âgé de seulement 39 ans et père de 2 enfants. Dressprod adresse toutes ses condoléances à sa famille et à ses proches. crédit photo : les garennes / source : horseman.org
- Mise à jour : Juan Matute Guimon hospitalisé dans un état critique
Mise à jour : Juan Matute Guimon a subi ce matin une opération chirurgicale de trois heures. Il semblerait qu'il soit toujours dans un état critique, bien que les détails de l'intervention chirurgicale ne soient pas connus, et qu'il n'y avait aucune indication quant au pronostic. *** Le jeune espagnol Juan Matute Guimon, 22 ans, a été transporté mardi en urgence à l’hôpital de Madrid. Après de sérieux maux de tête, une importante hémorragie cérébrale lui a alors été diagnostiquée. Son père, Juan Matute Azpitarte précisait ainsi au site américain dressage-news : « Juan est tombé inconscient après après avoir monté et a été transporté à l’hôpital par hélicoptère », puis ajoutait «Juan souffrait de maux de tête la semaine dernière, mais nous pensions que c'était une allergie », puis « il a un saignement très grave au cerveau et est dans un état très critique. En jeune homme positif qu'il est, il se bat pour gagner le grand combat de sa vie. Priez pour lui » source : dressage-news
- Les écuries Blue Hors encore en déficit
Spécialisé dans l'actualité agricole au Danemark, le site LandbrugsAvisen annonçait cette semaine un nouveau déficit pour les écuries Blue Hors pour l'année 2019 de 36,8 millions de couronnes danoises (soit 4.9 millions d'euros.) Toujours selon LandbrugsAvisen, depuis 7 ans, la structure serait déficitaire de 301 millions de couronnes danoises (soit environ 40 millions d'euros). Fondées en 1992 par Kjeld Kirk Kristiansen, également propriétaire du groupe Lego, les écuries Blue Hors permettaient notamment à Lars Petersen, Andreas Helgstrand et désormais Daniel Bachmann Andersen, actuellement 10 ème mondial, d'atteindre le très haut niveau. Selon le site Forbes, la famille Kristiansen pointe actuellement à la 293 ème place de son classement des milliardaires de la planète, avec une fortune estimée cette année à 6.2 milliards de dollars, loin, très loin du richissime propriétaire d'Amazon Jeff Bezos et ses 139.9 milliards de dollars. La fondation Lego a également fait un don de 50 millions d'euros fin mars pour les enfants et les familles touchées par le Covid 19. sources : LandbrugsAvisen/Forbes/LegoFondation
- Jens Meyer rejoint l'équipe des écuries Blue Hors
Les écuries danoises Blue Hors poursuivent leur développement. Après le recrutement d'une nouvelle cavalière (voir ICI), Blue Hors s'entoure désormais d'un nouveau collaborateur : l'allemand Jens Meyer. Bien connu outre Rhin pour être à la tête d'une station de monte qui distribue notamment Damsey, His Highness, Herzensdieb, Falsterbo, Licosto, Fairbanks, Dacaprio, Jens Meyer travaille désormais comme consultant élevage pour Blue Hors, depuis l'Allemagne, où il participe activement au conseil des propriétaires de juments allemandes, à la recherche de poulains prometteurs. source : communiqué / crédit photo : Kiki Beelitz
- Ponycorn le blog : "la plupart des personnages sont issus de mon imagination'
Depuis quelques semaines, Stéphanie Bouché, plus connue comme l'humoriste truculente et décapante de Ponycorn le blog, accompagne avec impertinence et légèreté les cavaliers français dans leur confinement. Et c'est avec son personnage de la juge de dressage qu'elle réalisait un de ses premiers buzz. Dressprod est parti à la rencontre de celle qui, désormais chaque matin, nous réveille, dans tous les sens du terme. Le personnage de la juge de dressage représente aujourd'hui votre plus gros succès. A quoi l'attribuez-vous et comment avez-vous suivi cette explosion du nombre de partages et commentaires ? Alors c'est très difficile de s'auto-analyser à vrai dire ! Je ne peux pas vous dire pourquoi cette vidéo a eu plus de succès qu'une autre, peut-être que c'est le côté paradoxal guindé/excentrique du personnage de la juge ? Lorsque j'ai commencé à publier des parodies début avril, je ne m'attendais pas du tout à cet impact. A vrai dire, ne pouvant plus exercer ma profession de prestataire de services équestres, je me suis mise à faire ces vidéos pour me défouler et m'occuper pendant le confinement. Les 2 premières parodies ont très bien fonctionné et les gens m'ont incité à continuer mais c'est à partir de la 3 ème vidéo, celle du juge de dressage, que mes réseaux sociaux ont littéralement explosé. Sur TikTok, je suis passé de 0 à 50 000 abonnés, sur Facebook, de 3600 à plus de 20 000 aujourd'hui et Instagram de 1300 à 16 000, c'est complètement fou ! Je suis très contente de voir en commentaires que les gens ont le même humour que moi !! Aujourd'hui, on atteint les 30 parodies sur YouTube et ce n'est pas fini !! Quelles expériences vous ont inspiré ce personnage ? Je suis cavalière depuis l'enfance, je n'ai donc pas eu de mal à trouver de l'inspiration pour tourner les parodies. Je sors aussi en compétition amateur et c'est ce milieu qui m'inspire le plus, j'exagère tout ce que j'ai vécu ou aurait pu vivre. La plupart des personnages sont issus de mon imagination avec toujours une petite part de vérité cachée au fond. Il faut prendre tout ça au 10 0000 ème degré, c'est surtout de l'autodérision. Je suis comme ça dans la vie, j'aime rire de tout et surtout me moquer de moi-même en premier. Avec ces parodies, j'avais envie de casser le côté un peu trop sérieux qu'on peut parfois reprocher à l'équitation. Comment expliquez-vous le caractère parfois caricatural des acteurs milieu du cheval ? Alors je dirais que c'est comme dans la vraie vie, il y a des gens avec différents caractères : certains plus extravertis que d'autres, on est tous différents. C'est cette différence que j'adore, qui m'inspire des parodies. Et franchement, une équitation sans un coach qui parle fort, c'est comme un morceau de raclette à moitié fondue, non ?! Il y a-t-il des conséquences inattendues liées au succès que vous rencontrez sur les réseaux sociaux ? Oui beaucoup ! Je reçois par exemple énormément de messages de personnes qui donnent des idées pour de futures parodies ou encore me félicitent parce que ça leur rappelle des souvenirs ou tout simplement parce que je les fais rire... J'ai même des personnes qui ne sont pas issues du milieu équestre qui apprécient mes vidéos, je trouve ça génial, tellement génial que je leur ai dédié une vidéo ! Hier par exemple, j'ai reçu un message d'une jeune fille qui me disait que toute la famille me suivait sur les réseaux : sa maman sur Facebook, sa sœur sur Insta et elle-même sur TikTok, c'est adorable ! J'ai même eu des organisateurs de concours équestres qui m'ont contacté pour animer un One-man show lors de leur concours, je trouve ça dingue ! Je suis quelqu'un qui aime les défis alors j'adore quand on me propose des choses originales voir même un peu cinglées ... Comment vivez-vous cette soudaine notoriété ? Quel regard portez-vous sur les réactions que vos vidéos suscitent ? En toute honnêteté, je ne sais pas quoi répondre à cette question car je suis loin d'être quelqu'un de connu, je suis juste une petite nana qui fait la pitre en vidéo ! La preuve : lorsque je suis sorti faire mes courses hier, personne ne m'a parlé d'écrevisse en PLS ou de Ponycorn ;). On verra bien lorsque je ressortirais en concours si je me saquer par les juges ou pas (lol) ! Cependant, j'apprécie énormément de recevoir des messages de la part des gens qui nous suivent et surtout que mes parodies fassent rire. Même après le confinement, je continuerais à publier des vidéos sur les réseaux. On a plein de projets en tête et plein de surprises à venir ! Avez-vous conscience d'accompagner avec légèreté les cavaliers pendant leur confinement et leur éloignement de leurs chevaux ? Je n'en avais pas conscience au début. De nombreuses personnes m'ont dit effectivement que ça leur faisait du bien de regarder mes vidéos alors qu'ils ne pouvaient pas monter ou voir leurs chevaux. Je ne savais pas que j'arrivais à transmettre autant de bonne humeur pendant cette période morose. A vrai dire, je suis vraiment étonnée et contente d'avoir pu faire autant sourire les gens. J'ai commencé ces parodies pour me défouler et aujourd'hui, je le fais pour apporter un peu d'humour dans notre passion commune. crédit photo : DR
- Andreas Helgstrand met un pied sur le marché britannique
Si le cavalier britannique Emilie Faurie annonçait début mars sa collaboration avec Andreas Helgstrand (voir ICI) après son départ des écuries Kasselmann, le danois a donné aujourd'hui davantage de détails sur cette nouvelle association " au fil des années, nous avons vu une demande croissante du marché anglais qui nous a conduit à cette nouvelle association avec l'un des meilleurs cavaliers de dressage de Grande-Bretagne". 4 chevaux ont donc d'ores et déjà rejoint le britannique. D'autres devraient également suivre : "nous sommes donc très heureux qu'Emile éduque plusieurs de nos chevaux et les présente sur le marché anglais". Emile Faurie précise quant à lui : "le talent d'Andreas pour repérer et acheter les bons chevaux est vraiment quelque chose dont nous pouvons bénéficier ici au Royaume-Uni […]. Je ressens une demande croissante pour ces chevaux […]. source : helgstrand dressage
- Nicole Favereau : l'apprentissage du cavalier, comment ça marche ?
Cavalière internationale, membre de l'équipe de France, enseignante, triple vainqueur du Grand National de la FFE, mais aussi créatrice d'E-Riding Solutions, le concept qui permet aux cavaliers de trouver une méthode d'entraînement à domicile leur permettant d'optimiser leurs performances grâce à de simples échanges vidéos, Nicole Favereau nous en dit un peu plus sur le processus d'apprentissage du cavalier. Il m’arrive souvent d’entendre mes élèves dire qu’ils (ou que leurs chevaux) ne progressent pas assez vite, que telle ou telle difficulté qui pourtant leur semblait acquise, ne l’est pas et qu’ils ne comprennent pas pourquoi leur cheval recommence à faire cette faute qu’il ne faisait plus depuis longtemps. Il m’a donc semblé intéressant de faire un éclairage sur la manière dont se construisent les programmes moteurs responsables de notre compétence à cheval mais également dans tous les secteurs de la vie. L’équitation peut être pratiquée comme un art, un loisir mais aussi comme une discipline sportive au même titre que de nombreuses autres activités physiques. A ce titre, elle est soumise à des procédés d’apprentissage même si à la différence du tennis ou du ski « l’outil » est un être vivant lui-même soumis à des apprentissages. L’apprentissage moteur est un processus interne. Cela signifie que c’est un processus cognitif qui s'opère dans le système nerveux de celui qui apprend et qui permet à un élève de modifier son comportement chaque fois qu’il est confronté à une tâche vis-à-vis de laquelle il n’a pas encore de réponse adaptée (comme par exemple trotter enlevé ).Ce changement progressif doit être durable et engendre des possibilités de développement des habiletés motrices. Mais qu’est ce qu’une habileté motrice ? Les exemples sont nombreux dans tous les sports : au basket, c'est mettre la balle dans le panier ; en natation, en athlétisme, c'est aller le plus vite possible ; en gymnastique, c'est reproduire fidèlement une forme gestuelle ; en équitation ces habiletés vont prendre différentes formes en fonction de la discipline pratiquée (effectuer un parcours sans incidents le plus rapidement possible, effectuer une reprise de dressage sans fautes,…). Sans l'atteinte de ces objectifs, il n'y a pas d'habileté. Par habileté motrice (l'habileté sportive étant une sous-catégorie de celle-ci), on désigne habituellement le niveau de compétence ou de savoir-faire acquis par un pratiquant dans l'atteinte d'un but particulier.(comme par exemple : approcher les changements de pieds). C’est donc la capacité à atteindre un objectif de manière efficace mais aussi de manière efficiente c'est-à-dire économique en termes de dépense physique et de temps. L’apprentissage c’est donc « j’apprends à faire ce que je ne sais pas faire. » pour arriver au contrôle moteur « je fais ce que je sais faire » Le cavalier à l’instar de son cheval va donc développer des habiletés motrices diverses afin de devenir autonome et compétent(être capable de s’équilibrer sur son cheval pour gérer la vitesse et la direction). Toutes les habiletés ne se ressemblent pas. les habiletés techniques comme par exemple partir au galop sur le bon pied. Une habileté technique se déroule dans un univers stable, prévisible ; le sujet n’a aucune décision à prendre, il réalise le geste prévu. Il n’y a pas ou peu d’incertitude. les habiletés stratégiques comme par exemple choisir le bon tracé sur un parcours d’obstacle. Ce sont des habiletés où il y a des décisions à prendre au cours de la tache. Ceci est dû à la présence de partenaires et/ou d’adversaires ou tout simplement le fait de monter sur un être vivant qui entraîne de l’incertitude et donc une prise de décision. Dans une même pratique et notamment en équitation il y aura des habiletés techniques et stratégiques. En effet, il faut maîtriser à la fois l’emploi des aides et le fonctionnement juste dans un mouvement mais également être capable de sélectionner une stratégie lorsque des éléments extérieurs ou liés à la soumission du cheval viennent perturber le bon déroulement de ce mouvement, comme par exemple attendre une foulée supplémentaire pour demander un changement de pied si on estime que le cheval n’est pas suffisamment prêt. L’équitation est aussi une activité de type global et pas uniquement manipulatoire ; on ne se voit pas, on travaille sur les sensations, il n’y a pas ou peu de contrôle visuel. C’est aussi tout à la fois une habileté où l’on doit produire des formes gestuelles (voltige), et ou la validation de l’activité se fait par l’esthétique du geste mais également sur l’efficacité du geste (ligne de changements de pieds rapprochés). C’est donc une habileté extrêmement complexe qui nécessite le mouvement complet du corps Mais comment apprend t’on ? 1.Le stade cognitif Si on prend l’exemple du départ au galop sur le bon pied, le débutant est complètement absorbé par les aides à utiliser pour partir au galop, il ne sent pas que l’allure se dégrade ou que le cheval se met de travers et quand le cheval est parti,il ne sait pas s’il est parti sur le bon pied Ce stade se caractérise par une intense activité cognitive c'est-à-dire que l’élève fait intervenir, les fonctions supérieures du cerveau : il s'agit de l'attention, de la mémoire, des fonctions exécutives, des fonctions visio-spatiales . C’est une période où le sujet ne fait que ça et ne peut pas faire autre chose que cette tâche qui l’accapare ; il identifie le but à atteindre, ses mouvements sont fragmentés et saccadés et la dépense attentionnelle est très élevée. Au début de l’apprentissage, les représentations sont donc orientées vers l’exécution séquentielle des habiletés motrices. 2.Le stade d’association : A ce stade le cavalier est capable de reproduire plusieurs départs au galop sur le bon pied mais il ne sait qu’à postériori que le cheval est bien parti en le vérifiant par lui-même. La régularité des réponses traduit l'automatisation progressive des actions motrices. Au fil de la pratique, l'autonomie du sujet se traduit par un moindre recours préalable au contrôle cognitif (j’ai moins besoin de réfléchir pour le faire) . Il apprend également à évaluer les résultats de son action sans un recours systématique aux informations en retour données par l'enseignant. 3.Le stade autonome : Le cavalier sait au moment de l’exécution du départ que le cheval part sur le bon pied ou non et est capable d’adapter immédiatement son comportement pour valider un bon résultat. Les processus sont automatisés. L’apprentissage débouche sur l’utilisation de plus en plus sélective et économique des muscles. L’efficience est donc le dernier stade, c’est ce qui entraîne l’habileté. Le contrôle attentionnel n’est plus nécessaire (la double tâche est possible : je peux changer d’allure et de direction en même temps). A la fin de l’apprentissage, les représentations sont plutôt constituées de plans tactiques ou encore d’images anticipatrices. Conclusion : A la lumière de ces indications, il faut donc comprendre et accepter que l’apprentissage moteur ne se fait pas grâce à 2 ou 3 répétitions, que se soit pour le cheval ou le cavalier. Il faut répéter la tâche de manière prolongée et la stabiliser ; ce qui pose un problème épineux pour le cavalier qui a besoin de s’entrainer et doit répéter des dizaines de fois pour automatiser son geste mais qui est tributaire de son cheval qui lui, a une autonomie limitée dans la répétition et va se lasser rapidement si on insiste trop longtemps sur les mêmes exercices. La solution est donc de savoir varier dans les différents apprentissages pour ne pas excéder son cheval et on pourra ainsi avoir son compte de répétitions dans la durée sans entamer la bonne volonté de son cheval qui lui aussi a besoin de temps de maturation pour acquérir ses propres habiletés. Plus d'infos sur E-Riding Solutions ICI
- Les Championnats du Monde Jeunes Chevaux officiellement reportés à decembre
Ce sera finalement une première : en raison de l'épidémie de Covid 19, les Championnats du Monde Jeunes Chevaux organisés cette année à Verden auront finalement lieu du 9 au 13 décembre et non en août. Si certains exprimaient leur réserve quant à cette nouvelle date en raison de sa proximité avec le calendrier Coupe du Monde, la Fédération Équestre Internationale a cependant tranché et accepté cette proposition de l'organisateur. L'échéance aura donc lieu, exceptionnellement, en Indoor. source : eurodressage
- Déjà 750.000 € de pertes pour le Cadre Noir de Saumur
Au Cadre Noir de Saumur aussi les pertes financières causées par le Covid 19 s'accumulent. Dans une interview accordée à France 3, Jean-Roch Gaillet, directeur général de l'Institut Français du Cheval et de l'Equitation déclarait il y a quelques jours : "on est à 750.000€ de pertes, ce qui est déjà considérable […], on aura moins de monde dans nos prochains galas, quand on va redémarrer, en septembre, en octobre, on ne remplira pas les salles [...]". Toujours selon France 3, les pertes pourraient finalement atteindre 1 million d'euros. Reportage vidéo à découvrir ici : source : France 3
- Patrik Kittel annonce la fin de carrière de sa jument Deja
Patrik Kittel, la locomotive du dressage suédois, annonçait aujourd'hui la fin de carrière de sa jument Déjà. La fille de Silvano se consacrera désormais à la reproduction. Ensemble, ils participaient aux Championnats d'Europe de Gotebörg en 2017, aux Jeux Mondiaux de Tryon et prenaient la 4 ème place de la Finale Coupe du Monde de Paris en 2018. Ils remportaient aussi les CDI de Mechelen, Vidauban, Hagen, Falsterbo, Salzburg, Compiègne, Doha, soit plus de 20 victoires internationales. Deja concluait donc sa carrière internationale en juillet 2018 sur le CDI de Falsterbo. Âgée de 16 ans, Deja est la mère de Diva, montée par la femme de Patrik Kittel, Lyndal Oatley.










