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  • Mise en vente du Haras de Hus : une page du dressage français qui se tourne ?

    C'est par le magazine Grand Prix que la nouvelle était confirmée par Xavier Marie : le Haras de Hus est officiellement à vendre. La nouvelle faisait hier soir grand bruit sur les réseaux sociaux  mais l'information se murmurait depuis un moment déjà... Si certains y voient la fin de la structure nantaise, le fondateur de Maison du Monde a cependant précisé « je ne vendrais que si je trouve un acquéreur pour l'ensemble ». Les 130 hectares, les 150 chevaux présents (mères porteuses non comprises), n'ont pas encore changé de main. Bien que le Haras de Hus poursuivent aujourd'hui ses activités, il reste cependant certain que sa vente ou sa réorientation ne seraient/seront pas sans conséquences pour le dressage français. Depuis 15 ans, le Haras de Hus a inscrit en effet à son palmarès : -1 participation olympique -1 participation aux Championnats d'Europe -1 participation aux Championnats du Monde -1 médaille de bronze en Championnats du Monde Jeunes Chevaux -une douzaine de participations aux Championnats du Monde Jeunes Chevaux -plus d'une trentaine de titres de Champion de France Jeunes Chevaux -une cinquantaine de podiums en Championnats de France Qu'ils soient nés ou estampillés « Haras de Hus », tant avec le site fédéral qu'avec celui des haras nationaux, impossible de dénombrer avec précision combien de chevaux de dressage le Haras de Hus a mis sur le marché français depuis maintenant 15 ans : des centaines c'est certain, des milliers peut-être, montés chaque jour par autant de cavaliers amateurs ou professionnels aux quatre coins de l'Hexagone et bien au delà. L'hypothèse de la disparition du Haras de Hus, crainte par de nombreux passionnés, affecterait donc avec certitude toute une filière tricolore encore fragile. Outre sa capacité à fournir des chevaux aux cavaliers amateurs, l'empreinte des étalons que le Haras de Hus propose, hier Soliman, aujourd'hui encore Don Juan de Hus, est manifeste sur l'élevage français et participe certainement à l'amélioration de la production nationale. Le Haras de Hus a aussi fait émerger de nombreux cavaliers aujourd'hui professionnels, comme Guillaume Recoing, Alizée Roussel, Natacha Micoud, Jean Etienne Suisse de Saint Claire ou encore Julien Vincent : une génération de trentenaires qui s'aligne elle aussi régulièrement aux Championnats du Monde Jeunes Chevaux, à la Grande Semaine de l'élevage de Saumur ou sur des épreuves nationales avec les chevaux dont ils ont désormais la charge et, au moins en partie, grâce à l'expérience qu'ils y ont acquise. Indissociable du Haras de Hus, Jessica Michel Botton s'inscrit quant à elle comme une figure aussi reconnue qu'incontournable du circuit international jeunes chevaux ; une expertise qui lui permet non seulement de représenter chaque année la France aux Championnats du Monde Jeunes Chevaux mais aussi désormais de participer à la formation de nombreux cavaliers français grâce à son engagement aux côtés de la Société Hippique Française. De Silhouette, à Noble Dream, Riwera, Poetin, Don Juan, Dorian Grey, Daimler, Socrate, Prince, Roosevelt, en passant par Ferdinand, Dame, Lord, Swing, Chic, Soliman, Wordly, Sunny, Sans Limite, Hermes, Danciero, Dimension, Don Vito, Djembe, Fortune Carrée et bien d'autres, Xavier Marie a donc officialisé qu'une page allait se tourner mais que le livre n'était pas encore fermé ; à charge du dressage français d'écrire la suite de son histoire et de poursuivre l'impulsion qui lui a été donnée, entre autres, par le Haras de Hus. crédit photo : DR

  • Un nouveau cheval de Grand Prix pour Daniel Bachmann Andersen

    Si le danois Daniel Bachmann Andersen annonçait il y a peu avoir décidé de quitter le haras de Blue Hors pour se lancer à son compte dans de superbes installations (voir ICI), le trentenaire semble d'ores et déjà voir son nouveau piquet de chevaux se constituer. Alors qu'il n'évoluera donc plus avec Blue Hors Zack et Blue Hors Zepter, Daniel Bachmann Andersen présentait cette semaine un de ses nouveaux chevaux lors d'un regroupement fédéral organisé avec l’entraîneur national Nathalie zu Sayn Wittgenstein : Marshall. Âgé de 8 ans, Marshall est un fils de Don Romantic né d'une mère par Michellino, propriété de Vivi et Christian Vang-Lauridsen. Il évoluait précédemment avec Michala Damm Frydenberg.

  • Juan Matute Guimon continue de progresser

    Un peu plus d'un mois après son hémorragie cérébrale et les 2 opérations qu'il subissait, Juan Matute Guimon continue de progresser et de susciter l'espoir chez sa famille et les médecins. Le jeune espagnol a en effet retrouvé l'usage de la parole et pu échanger quelques mots avec ses parents en espagnol bien sur, mais aussi en anglais : lorsque sa mère lui demanda s'il se souvenait de l'anglais, il lui répondit : « bien sur ». Pour son père, Juan Matute Azpitarte : « c'est incroyable l'énorme progrès qu'il a fait aujourd'hui ». Ses proches espèrent désormais qu'il quitte bientôt l'unité de soins intensifs de l'hôpital Jiménez Díaz. Son père précise cependant : « bien sur il va reprendre du poids doucement car il a perdu tous ses muscles à cause des traitements », avant d'ajouter « l'avenir semble prometteur pour notre famille. Je n'arrête pas de remercier les professionnels de l'hôpital pour leur détermination à sauver Juan », « après cette période très difficile pour les gens à Madrid avec autant de morts du Covid 19, c'est incroyable de voir tout ce qu'ils ont tenté alors que Juan était dans un état critique ». Sa sœur Paula, actuellement en Floride, a quant à elle pu avoir une conversation vidéo avec son jeune frère. source : dressage news

  • Les meilleurs cavaliers britanniques et hollandais prêts à s'affronter pour un Grand Prix en ligne

    Mi-juillet, les meilleurs cavaliers de dressage britanniques et néerlandais participeront à un Grand Prix en ligne lors d'un événement intitulé le « GPDressage Challenge » organisé par les équipes du CDIO de Hickstead et du CHIO Rotterdam. Les couples engagés dérouleront leurs épreuves sur les carrières des concours de Hickstead et Rotterdam, devant les juges internationaux Stephen Clarke et Mariette Sanders - van Gansenwinkel qui commenteront en direct. Les spectateurs pourront eux aussi, derrière leurs ordinateurs, noter les reprises présentées. Des cavaliers des deux pays, dont Charlotte Dujardin, Emile Faurie et le chef d'équipe néerlandais Alex van Silfhout, ont répondu positivement à cette initiative.« Le monde du cheval tout entier attendait avec impatience cette année olympique. Le COVID-19 a non seulement entraîné l'annulation des Jeux Olympiques et de nos événements de Rotterdam et Hickstead, mais aussi créé une grande déception pour les fans qui ne verront probablement pas leurs cavaliers et chevaux de dressage préférés en action cette année », explique Patrick van der Meer, directeur sportif Dressage au CHIO Rotterdam. Sur place, l’événement ne sera pas ouvert au public.

  • Daniel Pinto débute le Grand Prix avec un nouveau cheval

    Le portugais Daniel Pinto, 2 fois cavalier olympique, débutait hier sur un concours national un nouveau cheval sur le Grand Prix : Fürst Fritz. Précédemment monté par son fils Yoann avec qui il participait aux épreuves Jeunes Cavaliers du CDI de Lisbon en octobre dernier, le descendant de Fürst Romancier de 9 ans né chez Paul Schockemöhle se voit attribuer une note de 70,94 % pour son premier Grand Prix. Si la dernière sortie internationale de Santurion de Massa, monture avec laquelle Daniel Pinto participait aux Championnats d'Europe en 2015 et 2017, date du CHIO d'Aix la Chapelle en juillet 2018, le portugais débutait, aussi sur le CDI de Lisbon l'année dernière E-Zuzu, un lusitanien alors âgé de 10 ans.

  • Charlotte et Jean Vesin désormais installés dans le Pays de Loire

    Ils auront dû attendre la fin du confinement pour enfin prendre un nouveau départ qu'ils préparaient depuis quelques mois : Charlotte et Jean Vesin ont ainsi quitté leurs installations savoyardes des Fleysets pour s'installer 800 km plus loin, au cœur de la Mayenne, à deux pas de Laval et du Mans ; un déménagement sous le signe du changement. Vous venez de quitter votre structure de Savoie pour rejoindre désormais la Mayenne.Pour quelles raisons avoir souhaité changer de région et pourquoi la Mayenne ? Charlotte Charlvignac Vesin : nous cherchions depuis un an et demi, une structure qui pouvait loger notre famille et nos employés. Mes parents habitent sur la même propriété pour s’occuper de ma fille quand je suis au travail et en concours. Nous voulions aussi nous rapprocher du centre de la France ou le Pays de la Loire. J’avais quand même une préférence pour le Pays de la Loire, mes grands-parents étant du Mans. Nous voulions aussi des terres d’élevage et de grands paddocks, pouvoir lâcher les chevaux une grande partie de la journée, c’était vraiment important pour moi de pouvoir et voir mes chevaux à l’herbe. Ma pièce à vivre donne directement dans l’écurie, et vue sur les paddocks d’été et d’hiver. J’aime être proche de mes chevaux. Aujourd’hui je peux aller les voir en chaussons... c’est un rêve ! Quel regard portez vous sur la dizaine d'années passées en Savoie ? Charlotte Chalvignac Vesin : j’ai énormément appris aux Fleysets, que ce soit sportivement car je suis passé en dix ans de l’amateur 3 au Grand Prix ou que ce soit humainement. J’ai aussi appris à savoir exactement ce que je voulais faire ou ne pas faire, et ce que j’étais capable de faire et de ne pas faire. J’ai trouvé ma voie en fait. En quoi ce déménagement est-il un nouveau départ ? S'agit-il d'une nouvelle orientation, d'un développement de vos activités ou d'un simple changement géographique ? Charlotte Chalvignac Vesin : c’est un peu un nouveau départ quand même. Quand je suis arrivée aux Fleysets, il y avait pas de commerce de chevaux, il y avait un poney club et des propriétaires. Au fur et à mesure des années, le poney club a fermé pour laisser place au commerce, puis de moins en moins de chevaux de propriétaires pour de plus en plus de chevaux de commerce. Aujourd’hui nous ne proposons plus de pension simple, c’est seulement commerce et pension travail. Nous voulons développer la partie commerce, surtout sur le cheval lusitanien avec notre ami et associé Olivier Arnal et sa famille. Nous avons déjà plusieurs chevaux ensemble. Vous sortez habituellement beaucoup de chevaux en compétition. Cette nouvelle localisation vous semble-t-elle une opportunité ? Charlotte Chalvignac Vesin : la situation géographique nous permet de faire beaucoup moins de kilomètres pour accéder aux concours. L’année dernière j’ai participé à 110 épreuves en traversant la France dans tous les sens. Je vais gagner en temps et en énergie. Et évidemment économiser aussi mes chevaux. Quel sera désormais l'avenir du centre équestre de Fleysets ? Charlotte Chalvignac Vesin : les Fleysets redeviennent une écurie de propriétaires à part entière. De quelles installations disposez-vous désormais ? Charlotte Chalvignac Vesin : les installations sont composées de 12 hectares de prairies. Il y a un rond de longe de 20 mètre et un rond d’havraincourt 30x20, une carrière 70x30, un manège qui est actuellement en agrandissement pour passer de 42 à 60m de long, un marcheur couvert et rond de longe couvert qui arrivent en septembre. Il y a déjà 15 grand boxes et un barns de 20 grands boxes qui arrivent fin juillet. Les travaux ont été retardés avec le coronavirus. A vrai dire nous avons eu un vrai coup de cœur sur cet endroit. C’est paisible ! La première fois que j’ai visité, je me suis dis : c’est chez moi, je veux être ici ! Exactement la même chose que quand j’ai essayé Zouzo, c’était une évidence. C’était lui et pas un autre, comme la propriété ! Nous sommes vraiment heureux.

  • Mise à jour des critères de qualification pour les Championnats du Monde Jeunes Chevaux

    Face à l'annulation de toutes les compétitions depuis plusieurs mois déjà, et après le report des Championnats du Monde Jeunes Chevaux de Verden au mois de décembre au lieu du mois d'août, la Fédération Équestre Internationale a publié la mise à jour des minimas de qualification requis pour participer à l'événement. Si les 5 et 6 ans doivent obtenir un minimum de 75 % sur un CDI Jeunes Chevaux ou sur un concours national qualificatif, les 7 ans devront quant à eux s'acquitter d'un 70 %. Reste aux fédérations de procéder ensuite à leurs sélections. Par ailleurs, les fédérations sont responsables s'assurer de l'équivalence entre les reprises nationales supports des qualifications avec le niveau des reprises internationales jeunes chevaux. La FEI a également supprimé la règle selon laquelle un maximum de 40 chevaux par catégorie d'âge était autorisé. Plus d'infos ICI

  • Le CDI 3* de Nice et le CDI 4* du Crozet annulés

    Les annulations de concours internationaux organisés en France se poursuivent. Après les 2 CDI 3* de Saumur, le CDI3* de Deauville, ce sont cette fois le CDI3* de Nice, prévu du 30 juillet au 2 août, et le CDI 4* du Crozet, prévu quant à lui du 27 au 30 août, qui sont eux aussi annulés en raison de la crise sanitaire internationale. 3 CDI restent cependant encore programmés dans l'Hexagone, du 1 au 4 octobre à Nice, du 15 au 18 octobre au Mans et l'étape Coupe du Monde de Lyon les 29 et 30 octobre. Depuis le début de l'année, le Covid 19 provoquait l'annulation de plus de 50 CDI dans le monde.

  • Le Champion d'Allemagne des 4 ans battu par un étalon poney !

    Petit par la taille, grand par le talent. Engagé sur une épreuve jeunes chevaux sur le concours national de Langenfeld, l'étalon poney FS Don Juan de Luxe, 4 ans, monté par Janine Drissen, a réussi l'exploit de s'imposer face au Champion d'Allemagne 2019 des 4 ans : Destello Old, présenté par Beatrice Buchwald. Avec une note de 8.5 FS Don Juan de Luxe devance donc le fils de Dimaggio évalué quant à lui à 8.4. FS Don Juan de Luxe prenait l'année dernière la 7 ème place du Championnat allemand des étalons poneys de 3 ans. crédit photo : coll privée ferienhof stuecker

  • Ehorses : 4000 chevaux de dressage à vendre

    Acheteurs, vendeurs, professionnels, amateurs : pas toujours facile de se retrouver dans la jungle d'internet lorsqu'il s'agit d'acheter ou de vendre un cheval, ni de trouver un site de petites annonces véritablement performant et largement consulté… Fondé en 1999 par une petite start-up allemande, ehorses est devenu en moins de 20 ans le leader européen des petites annonces équestres. Propriété d'Ullrich Kasselmann, incontournable éleveur de chevaux de dressage de haut niveau et organisateur des célèbres ventes PSI, ehorses permet aux particuliers comme aux professionnels de commercialiser leurs chevaux. 1 ère plateforme européenne d'annonces, ehorses proposait en 2019 plus de 70.000 annonces consultées par 3.000.000 de visites chaque mois. Avec un cheval vendu grâce à ehorses toutes les 20 min, le site traduit et disponible en français présente actuellement 14.000 chevaux à la vente dont 4000 chevaux de dressage, en France bien sûr, mais aussi en Allemagne, aux Pays-Bas, Belgique, Espagne … Gratuit pour les acheteurs, ehorses offre aussi aux vendeurs et aux professionnels du secteur de larges solutions de communication : e-mailing, achats d'espaces, vidéos, campagne réseaux sociaux. Ehorses a déjà la confiance : du Gestüt Lewitz, du Gestüt Sprehe, du Langestut Celle, des studbooks Oldenbourg, Hanovriens, Westphaliens et Trakehner, mais aussi de Paul Schockemohle. L'accès premium est d'ailleurs gratuit pour les 6 mois premiers mois. Pour obtenir plus d'infos et consulter les annonces ehorses, cliquez ICI

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